L'action GM a clôturé en baisse de 6,20% à 9,69 dollars, évoluant à ses plus bas niveaux enregistrés ces cinq dernières décennies.
Depuis plusieurs jours, le premier constructeur automobile américain est la cible de rumeurs croissantes sur l'état de ses liquidités, en raison du coût de son changement de stratégie décidé en urgence en juin pour changer son "mix produits" : construire plus de modèles compacts et des hybrides, que s'arrachent les consommateurs, et réduire la voilure sur les 4x4 et pick-up, boudés des Américains à cause du carburant cher.
Les investisseurs s'inquiètent aussi de la fonte de la valeur boursière de GM. Son action évolue sous la barre des 10 dollars depuis le début du mois, valorisant désormais le constructeur à moins de 5,5 milliards de dollars.
Le patron pour l'Europe de GM, Claus-Peter Forster, a démenti jeudi les rumeurs de faillite. "Ces rumeurs ne correspondent à rien", a-t-il déclaré au magazine Der Spiegel.
"Mais il est vrai que nous devons réussir la restructuration de l'activité aux Etats-Unis dans l'année et demie qui vient", a-t-il ajouté.
M. Forster a également démenti la possible cession d'autres marques, après l'annonce du possible abandon des 4x4 Hummer. "La vente de Hummer est discutée. Les informations selon lesquelles d'autres marques seraient à disposition sont pure spéculation", a-t-il déclaré.
Ce n'est pas la première fois que GM tente de rassurer les investisseurs ces dernières semaines, en vain.
Début juillet, l'action GM avait chuté pour la première fois depuis cinquante ans sous la barre des 10 dollars à Wall Street. Le titre avait brièvement repassé les 10 dollars après la publication de ventes automobiles moins mauvaises qu'attendu pour GM en juin, mais n'était pas parvenu à se maintenir à ses niveaux.
L'action GM a perdu plus de 60% depuis le début de l'année, et reculé de 16% depuis la fin juin.
Depuis plusieurs jours, le premier constructeur automobile américain est la cible de rumeurs croissantes sur l'état de ses liquidités, en raison du coût de son changement de stratégie décidé en urgence en juin pour changer son "mix produits" : construire plus de modèles compacts et des hybrides, que s'arrachent les consommateurs, et réduire la voilure sur les 4x4 et pick-up, boudés des Américains à cause du carburant cher.
Les investisseurs s'inquiètent aussi de la fonte de la valeur boursière de GM. Son action évolue sous la barre des 10 dollars depuis le début du mois, valorisant désormais le constructeur à moins de 5,5 milliards de dollars.
Le patron pour l'Europe de GM, Claus-Peter Forster, a démenti jeudi les rumeurs de faillite. "Ces rumeurs ne correspondent à rien", a-t-il déclaré au magazine Der Spiegel.
"Mais il est vrai que nous devons réussir la restructuration de l'activité aux Etats-Unis dans l'année et demie qui vient", a-t-il ajouté.
M. Forster a également démenti la possible cession d'autres marques, après l'annonce du possible abandon des 4x4 Hummer. "La vente de Hummer est discutée. Les informations selon lesquelles d'autres marques seraient à disposition sont pure spéculation", a-t-il déclaré.
Ce n'est pas la première fois que GM tente de rassurer les investisseurs ces dernières semaines, en vain.
Début juillet, l'action GM avait chuté pour la première fois depuis cinquante ans sous la barre des 10 dollars à Wall Street. Le titre avait brièvement repassé les 10 dollars après la publication de ventes automobiles moins mauvaises qu'attendu pour GM en juin, mais n'était pas parvenu à se maintenir à ses niveaux.
L'action GM a perdu plus de 60% depuis le début de l'année, et reculé de 16% depuis la fin juin.
