"Il n'y a pas eu encore de combat depuis ceux de Massaguet (qui avaient opposé vendredi les rebelles et les forces gouvernementales à 50 km de la capitale tchadienne). Nous sommes toujours en phase d'approche de N'Djamena à quelques dizaines de kilomètres", a déclaré à l'AFP un responsable de l'alliance rebelle.
La progression des rebelles hostiles au Président tchadien Idriss Deby Itno, qui ont traversé sans encombres le Tchad d'est en ouest en cinq jours, a été stoppée vendredi par de violents affrontements à Massaguet, mais l'armée n'a pas réussi à s'imposer.
La capitale tchadienne était calme samedi. Un important dispositif de sécurité y a été déployé. De nombreux mouvements de militaires ont été constatés vers les sorties de la ville, selon des témoins.
Le Président Deby, qui a participé vendredi aux combats, se trouve à N'Djamena, selon des sources militaires et proches de la présidence.
Les Français présents dans la capitale tchadienne ont commencé à se regrouper dans trois sites de la ville en vue d'une éventuelle évacuation à la demande de l'ambassade de France, a constaté un journaliste de l'AFP.
Quelque 1.500 Français résident au Tchad, dont 85% à N'Djamena.
L'armée française, présente dans ce pays depuis 1986 avec les 1.100 hommes du dispositif Epervier, renforcé depuis vendredi avec plus de 100 soldats venus de Libreville, a sécurisé les centres de regroupement et les grands hôtels de la capitale.
La progression des rebelles hostiles au Président tchadien Idriss Deby Itno, qui ont traversé sans encombres le Tchad d'est en ouest en cinq jours, a été stoppée vendredi par de violents affrontements à Massaguet, mais l'armée n'a pas réussi à s'imposer.
La capitale tchadienne était calme samedi. Un important dispositif de sécurité y a été déployé. De nombreux mouvements de militaires ont été constatés vers les sorties de la ville, selon des témoins.
Le Président Deby, qui a participé vendredi aux combats, se trouve à N'Djamena, selon des sources militaires et proches de la présidence.
Les Français présents dans la capitale tchadienne ont commencé à se regrouper dans trois sites de la ville en vue d'une éventuelle évacuation à la demande de l'ambassade de France, a constaté un journaliste de l'AFP.
Quelque 1.500 Français résident au Tchad, dont 85% à N'Djamena.
L'armée française, présente dans ce pays depuis 1986 avec les 1.100 hommes du dispositif Epervier, renforcé depuis vendredi avec plus de 100 soldats venus de Libreville, a sécurisé les centres de regroupement et les grands hôtels de la capitale.
