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"Comme prévu, le troisième trimestre a continué de mettre à l'épreuve Sony Ericsson", a reconnu dans un communiqué le P.D-.G. du groupe, Dick Komiyama, à l'annonce des résultats vendredi.
Le groupe nippo-suédois, l'un des plus grands fabricants mondiaux de portables créé en 2001, avait dégagé un bénéfice net de 267 millions d'euros au troisième trimestre 2007.
Sur la période juillet septembre, Sony Ericsson a accusé une perte opérationnelle de 33 millions d'euros contre un bénéfice de 393 millions en glissement annuel.
Le groupe attribue en grande partie ces pertes à une baisse des prix à la vente.
Sony Ericsson a réalisé un chiffre d'affaires en recul de 10% sur un an, à 2,8 milliards d'euros contre 3,10 milliards au troisième trimestre 2007.
Le nombre des unités vendues a aussi accusé un fléchissement passant de 25,9 millions au troisième trimestre 2007 à 25,7 millions. Il y a toutefois une légère amélioration par rapport au deuxième trimestre 2008 où le nombre des appareils vendu était de 24,4 millions.
Selon un analyste suédois Jan Dworsky, cité par l'agence financière Dow Jones Newswires, le troisième trimestre est toutefois meilleur que prévu avec notamment un maintien du volume des ventes.
Le groupe n'est pas coté en Bourse, mais le titre du Suédois Ericsson s'envolait à la Bourse de Stockholm à 7h30 GMT de 6,28% à 50,80 couronnes suédoises dans un marché en hausse de 3,16%.
En juillet dernier, Sony Ericsson avait annoncé qu'il allait supprimer 2.000 emplois dans le monde, en raison du ralentissement économique en Europe occidentale combiné à la vive concurrence dans le secteur des portables.
Il avait aussi annoncé un plan de réduction des coûts opérationnels de 300 millions d'euros par an à partir du deuxième trimesre 2009.
"Ces plans se poursuivent conformément à ce que nous avons prévu", a déclaré le P.-D.G. dans le communiqué.
Le groupe prévoit toujours une croissance du marché des portables de 10% en 2008 avec un déclin des prix à la vente. Le prix de vente moyen était de 109 euros au troisième trimestre 2008 contre 120 euros en glissement annuel.
Le groupe, qui avait historiquement fondé sa croissance sur les produits hauts de gamme, s'est réorienté vers les produits bas de gamme moins rentables, afin de gagner des parts de marché dans les pays émergents.
Jeudi, Nokia, numéro un mondial des portables avec 38% des parts de marché contre 8% pour Sony Ericsson, a annoncé des résultats en forte baisse au troisième trimestre avec un bénéfice net en recul de 30% sur un an à 1,08 milliard d'euros.
Le groupe nippo-suédois, l'un des plus grands fabricants mondiaux de portables créé en 2001, avait dégagé un bénéfice net de 267 millions d'euros au troisième trimestre 2007.
Sur la période juillet septembre, Sony Ericsson a accusé une perte opérationnelle de 33 millions d'euros contre un bénéfice de 393 millions en glissement annuel.
Le groupe attribue en grande partie ces pertes à une baisse des prix à la vente.
Sony Ericsson a réalisé un chiffre d'affaires en recul de 10% sur un an, à 2,8 milliards d'euros contre 3,10 milliards au troisième trimestre 2007.
Le nombre des unités vendues a aussi accusé un fléchissement passant de 25,9 millions au troisième trimestre 2007 à 25,7 millions. Il y a toutefois une légère amélioration par rapport au deuxième trimestre 2008 où le nombre des appareils vendu était de 24,4 millions.
Selon un analyste suédois Jan Dworsky, cité par l'agence financière Dow Jones Newswires, le troisième trimestre est toutefois meilleur que prévu avec notamment un maintien du volume des ventes.
Le groupe n'est pas coté en Bourse, mais le titre du Suédois Ericsson s'envolait à la Bourse de Stockholm à 7h30 GMT de 6,28% à 50,80 couronnes suédoises dans un marché en hausse de 3,16%.
En juillet dernier, Sony Ericsson avait annoncé qu'il allait supprimer 2.000 emplois dans le monde, en raison du ralentissement économique en Europe occidentale combiné à la vive concurrence dans le secteur des portables.
Il avait aussi annoncé un plan de réduction des coûts opérationnels de 300 millions d'euros par an à partir du deuxième trimesre 2009.
"Ces plans se poursuivent conformément à ce que nous avons prévu", a déclaré le P.-D.G. dans le communiqué.
Le groupe prévoit toujours une croissance du marché des portables de 10% en 2008 avec un déclin des prix à la vente. Le prix de vente moyen était de 109 euros au troisième trimestre 2008 contre 120 euros en glissement annuel.
Le groupe, qui avait historiquement fondé sa croissance sur les produits hauts de gamme, s'est réorienté vers les produits bas de gamme moins rentables, afin de gagner des parts de marché dans les pays émergents.
Jeudi, Nokia, numéro un mondial des portables avec 38% des parts de marché contre 8% pour Sony Ericsson, a annoncé des résultats en forte baisse au troisième trimestre avec un bénéfice net en recul de 30% sur un an à 1,08 milliard d'euros.
