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Dans une déclaration parvenue lundi soir à la MAP, M. Radi a indiqué qu'il a pris cette initiative "en raison de la foi profonde que m'inspirent les nobles idéaux pour le triomphe desquels des générations de militantes et de militants du parti ont mené un combat long de cinq décennies", ajoutant qu'il a également entrepris cette démarche "dans un souci de fidélité sans faille aux sacrifices qu'ils ont consentis pour le développement et la grandeur du Maroc".
Cette initiative, a ajouté M. Radi, "est un témoignage de la confiance pleine et entière, placée dans nos jeunes générations et dans leur capacité à faire avancer notre pays sur la voie du progrès, en comptant sur la détermination et le courage de notre jeunesse engagée".
"Le fait, pour moi, de présenter cette candidature pour assumer la lourde responsabilité de diriger l'USFP, procède, a-t-dit, aussi du sentiment de dévouement sincère qui m'anime, et de mon engagement ferme d'agir conformément aux exigences dictées par la nécessaire consolidation de l'unité du parti", ce qui devra permettre, selon lui, à l'USFP de conserver sa vocation de porte-étendard dans l'action menée pour défendre l'unité nationale et l'intégrité territoriale du pays, et demeurer cette formation politique postée à l'avant-garde dans le combat mené en faveur de la démocratie, et dans l'oeuvre collective visant à édifier le Maroc acquis aux principes de la citoyenneté digne et rallié aux valeurs de la démocratie socialiste, de l'unité et du développement durable.
M. Radi a aussi indiqué que le seul et unique dessein qui préside à sa candidature "est celui d'investir toute mon énergie et toute mon expérience et d'oeuvrer de concert avec tous les militants de l'USFP, hommes et femmes, de sorte que ce grand parti au sein duquel j'ai grandi et ai eu honneur de militer, durant un demi siècle, puisse accéder à une place et à un rang dignes de son histoire, une histoire marquée du sceau du militantisme, de l'ancrage populaire et de la stature politique qui sont les siens".
Une histoire, a-t-il souligné, "riche en apports connus et reconnus en faveur de la consolidation des fondements de l'Etat de droit et de l'édification d'une société démocratique moderne, mais aussi une histoire qui témoigne de l'écoute accrue et appuyée que le parti prête aux masses populaires, à leurs soucis et à leurs préoccupations, oeuvrant sans relâche pour leur trouver les réponses les plus appropriées, dans une démarche de proximité avec le citoyen, de concert avec les forces nationales démocratiques progressistes".
"Je suis donc engagé à placer l'intérêt de la patrie au-dessus de toute autre considération et à déployer de nouvelles démarches participatives et démocratiques en vue d'assurer la mise à niveau du parti et de lui permettre, ainsi, de continuer à jouer le rôle d'avant-garde qui est le sien au service des intérêts supérieurs de la nation", a-t-il affirmé.
M. Radi a également affirmé avoir pris la résolution de se porter candidat "en ayant pleinement conscience de l'ampleur de cette noble charge et des exigences de disponibilité totale et de dévouement sans faille qui lui sont inhérentes, et ce, pour être à la hauteur des attentes de toutes les sœurs Ittihadies et de tous les frères Ittihadis, et pour recueillir l'agrément des membres du parti et des congressistes. Tous, a-t-il dit, devront rester fidèles à leur identité politique propre, ainsi qu'à leur indépendance pour opérer le choix, libre et démocratique, de leur direction et de leurs instances décisionnelles et exécutives".
Les Ittihadies et Ittihadis, a-t-il ajouté, "doivent garder à l'esprit les impératifs de renforcement de notre formation afin qu'elle puisse remplir pleinement son rôle en matière d'encadrement optimal et efficient du plus grand nombre parmi les catégories populaires, et en vue d'une représentation sincère de nos compatriotes et d'une réhabilitation de la crédibilité et de la noblesse de l'engagement partisan".
"Le vœu qui nous anime tous est de servir notre patrie, en mobilisant les forces vives au sein de notre parti, et en mettant à contribution les personnes expérimentées et les énergies des jeunes au profil prometteur qu'il recèle, pour que soit assurée la mise en oeuvre des profondes réformes politiques, économiques, sociales et culturelles exigées par les multiples défis qui se posent aux plans national, régional et international", a poursuivi M. Radi.
Et d'ajouter qu'"une approche nouvelle devrait donc présider à notre action. Elle devrait être fondée sur notre attachement aux sacrifices et aux acquis du passé, et nous permettre, en même temps, de tirer les leçons des revers subis afin d'édifier le Maroc de demain, dans un esprit constructif, à la faveur d'une vision progressiste et d'une ferme aspiration à un avenir meilleur pour nos jeunes générations montantes, hommes et femmes, appelés à devenir les porte-étendards du monde de demain".
"Compte tenu de ce qui précède, je compte, au moment opportun, soumettre à la haute et judicieuse appréciation de S.M. le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, et conformément aux dispositions de la Constitution du Royaume, une requête où je solliciterai de Sa Majesté de bien vouloir me décharger de mes fonctions de ministre de la Justice dans le gouvernement de Sa Majesté", a dit M. Radi.
"Je saisis cette occasion pour dire toute ma fierté quant à la confiance royale constante qui m'est témoignée, et pour réitérer l'expression de ma loyauté et de mon dévouement à S.M. le Roi. Je réaffirme par ailleurs ma constante fidélité aux principes de l'USFP, à ses choix en faveur de la démocratie et de la modernité et à sa stratégie militante", a-t-il ajouté.
M. Radi a affirmé qu'"à l'instar de l'ensemble des militantes et des militants de l'USFP et de tous les sincères sympathisants du parti, et indépendamment du front de l'action militante, responsable et constructive où je me trouverai, je demeurerai mobilisé pour le triomphe des causes justes du peuple marocain".
A rappeler que Fathallah Oualalou et Habib El Malki, membres du bureau politique de l'USFP, avaient annoncé leurs candidatures au poste de premier secrétaire du parti.
Cette initiative, a ajouté M. Radi, "est un témoignage de la confiance pleine et entière, placée dans nos jeunes générations et dans leur capacité à faire avancer notre pays sur la voie du progrès, en comptant sur la détermination et le courage de notre jeunesse engagée".
"Le fait, pour moi, de présenter cette candidature pour assumer la lourde responsabilité de diriger l'USFP, procède, a-t-dit, aussi du sentiment de dévouement sincère qui m'anime, et de mon engagement ferme d'agir conformément aux exigences dictées par la nécessaire consolidation de l'unité du parti", ce qui devra permettre, selon lui, à l'USFP de conserver sa vocation de porte-étendard dans l'action menée pour défendre l'unité nationale et l'intégrité territoriale du pays, et demeurer cette formation politique postée à l'avant-garde dans le combat mené en faveur de la démocratie, et dans l'oeuvre collective visant à édifier le Maroc acquis aux principes de la citoyenneté digne et rallié aux valeurs de la démocratie socialiste, de l'unité et du développement durable.
M. Radi a aussi indiqué que le seul et unique dessein qui préside à sa candidature "est celui d'investir toute mon énergie et toute mon expérience et d'oeuvrer de concert avec tous les militants de l'USFP, hommes et femmes, de sorte que ce grand parti au sein duquel j'ai grandi et ai eu honneur de militer, durant un demi siècle, puisse accéder à une place et à un rang dignes de son histoire, une histoire marquée du sceau du militantisme, de l'ancrage populaire et de la stature politique qui sont les siens".
Une histoire, a-t-il souligné, "riche en apports connus et reconnus en faveur de la consolidation des fondements de l'Etat de droit et de l'édification d'une société démocratique moderne, mais aussi une histoire qui témoigne de l'écoute accrue et appuyée que le parti prête aux masses populaires, à leurs soucis et à leurs préoccupations, oeuvrant sans relâche pour leur trouver les réponses les plus appropriées, dans une démarche de proximité avec le citoyen, de concert avec les forces nationales démocratiques progressistes".
"Je suis donc engagé à placer l'intérêt de la patrie au-dessus de toute autre considération et à déployer de nouvelles démarches participatives et démocratiques en vue d'assurer la mise à niveau du parti et de lui permettre, ainsi, de continuer à jouer le rôle d'avant-garde qui est le sien au service des intérêts supérieurs de la nation", a-t-il affirmé.
M. Radi a également affirmé avoir pris la résolution de se porter candidat "en ayant pleinement conscience de l'ampleur de cette noble charge et des exigences de disponibilité totale et de dévouement sans faille qui lui sont inhérentes, et ce, pour être à la hauteur des attentes de toutes les sœurs Ittihadies et de tous les frères Ittihadis, et pour recueillir l'agrément des membres du parti et des congressistes. Tous, a-t-il dit, devront rester fidèles à leur identité politique propre, ainsi qu'à leur indépendance pour opérer le choix, libre et démocratique, de leur direction et de leurs instances décisionnelles et exécutives".
Les Ittihadies et Ittihadis, a-t-il ajouté, "doivent garder à l'esprit les impératifs de renforcement de notre formation afin qu'elle puisse remplir pleinement son rôle en matière d'encadrement optimal et efficient du plus grand nombre parmi les catégories populaires, et en vue d'une représentation sincère de nos compatriotes et d'une réhabilitation de la crédibilité et de la noblesse de l'engagement partisan".
"Le vœu qui nous anime tous est de servir notre patrie, en mobilisant les forces vives au sein de notre parti, et en mettant à contribution les personnes expérimentées et les énergies des jeunes au profil prometteur qu'il recèle, pour que soit assurée la mise en oeuvre des profondes réformes politiques, économiques, sociales et culturelles exigées par les multiples défis qui se posent aux plans national, régional et international", a poursuivi M. Radi.
Et d'ajouter qu'"une approche nouvelle devrait donc présider à notre action. Elle devrait être fondée sur notre attachement aux sacrifices et aux acquis du passé, et nous permettre, en même temps, de tirer les leçons des revers subis afin d'édifier le Maroc de demain, dans un esprit constructif, à la faveur d'une vision progressiste et d'une ferme aspiration à un avenir meilleur pour nos jeunes générations montantes, hommes et femmes, appelés à devenir les porte-étendards du monde de demain".
"Compte tenu de ce qui précède, je compte, au moment opportun, soumettre à la haute et judicieuse appréciation de S.M. le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, et conformément aux dispositions de la Constitution du Royaume, une requête où je solliciterai de Sa Majesté de bien vouloir me décharger de mes fonctions de ministre de la Justice dans le gouvernement de Sa Majesté", a dit M. Radi.
"Je saisis cette occasion pour dire toute ma fierté quant à la confiance royale constante qui m'est témoignée, et pour réitérer l'expression de ma loyauté et de mon dévouement à S.M. le Roi. Je réaffirme par ailleurs ma constante fidélité aux principes de l'USFP, à ses choix en faveur de la démocratie et de la modernité et à sa stratégie militante", a-t-il ajouté.
M. Radi a affirmé qu'"à l'instar de l'ensemble des militantes et des militants de l'USFP et de tous les sincères sympathisants du parti, et indépendamment du front de l'action militante, responsable et constructive où je me trouverai, je demeurerai mobilisé pour le triomphe des causes justes du peuple marocain".
A rappeler que Fathallah Oualalou et Habib El Malki, membres du bureau politique de l'USFP, avaient annoncé leurs candidatures au poste de premier secrétaire du parti.
