"Nous n'oublierons jamais Saddam Hussein, parce que nous avons vécu sous sa protection pendant des dizaines d'années", a déclaré Oum Mohamed, une habitante d'Aouja (sud de Tikrit), où repose l'ex-président.
"L'anniversaire de l'ancien président restera toujours très important pour nous", a expliqué cette mère de famille de 40 ans, toute de noir vêtue. "Nous apprendrons à nos enfants à l'aimer, et nous nous recueillerons sur sa tombe à chaque occasion."
Un important dispositif de sécurité avait été mis en place par les autorités aux entrées du village.
Né dans une famille pauvre d'Aouja le 28 avril 1937, Saddam Hussein a dirigé l'Irak d'une main de fer de 1979 jusqu'à l'invasion du pays en mars 2003.
Capturé en décembre 2003, Saddam Hussein a été pendu le 30 décembre 2006, après avoir été condamné pour crimes contre l'humanité, pour la mort de 148 villageois chiites arrêtés, jugés et exécutés dans les années 80 après une tentative d'assassinat contre lui.
Mardi, certains ont déposé des fleurs sur la tombe, d'autres ont récité des poèmes, alors que l'hymne irakien résonnait.
"Nous n'oublierons jamais cet anniversaire et nous viendrons chaque année fleurir sa tombe et lire des passages du Coran", a déclaré Oum Zyad, la cinquantaine, venue spécialement de Bagdad avec des parents.
Des enfants scolarisés à Tikrit ont également fait le déplacement, en bus.
"Je viens rendre visite à Baba Saddam (papa Saddam)", a déclaré Meyser Ahmad, 11 ans, le drapeau irakien à la main.
Les deux fils de Saddam, Oudaï et Qoussaï, tués en juillet 2003 à Mossoul (nord) par l'armée américaine, reposent aussi à Aouja, tout comme trois dignitaires du régime condamnés à mort avec Saddam Hussein en novembre 2006.
Il s'agit de Barzan Ibrahim Al-Hassan (Al-Tikriti), demi-frère du président déchu et son conseiller, et Awad Ahmed al-Bandar, ex-président du tribunal révolutionnaire, et Taha Yassine Ramadan, l'ancien vice-président irakien.
"L'anniversaire de l'ancien président restera toujours très important pour nous", a expliqué cette mère de famille de 40 ans, toute de noir vêtue. "Nous apprendrons à nos enfants à l'aimer, et nous nous recueillerons sur sa tombe à chaque occasion."
Un important dispositif de sécurité avait été mis en place par les autorités aux entrées du village.
Né dans une famille pauvre d'Aouja le 28 avril 1937, Saddam Hussein a dirigé l'Irak d'une main de fer de 1979 jusqu'à l'invasion du pays en mars 2003.
Capturé en décembre 2003, Saddam Hussein a été pendu le 30 décembre 2006, après avoir été condamné pour crimes contre l'humanité, pour la mort de 148 villageois chiites arrêtés, jugés et exécutés dans les années 80 après une tentative d'assassinat contre lui.
Mardi, certains ont déposé des fleurs sur la tombe, d'autres ont récité des poèmes, alors que l'hymne irakien résonnait.
"Nous n'oublierons jamais cet anniversaire et nous viendrons chaque année fleurir sa tombe et lire des passages du Coran", a déclaré Oum Zyad, la cinquantaine, venue spécialement de Bagdad avec des parents.
Des enfants scolarisés à Tikrit ont également fait le déplacement, en bus.
"Je viens rendre visite à Baba Saddam (papa Saddam)", a déclaré Meyser Ahmad, 11 ans, le drapeau irakien à la main.
Les deux fils de Saddam, Oudaï et Qoussaï, tués en juillet 2003 à Mossoul (nord) par l'armée américaine, reposent aussi à Aouja, tout comme trois dignitaires du régime condamnés à mort avec Saddam Hussein en novembre 2006.
Il s'agit de Barzan Ibrahim Al-Hassan (Al-Tikriti), demi-frère du président déchu et son conseiller, et Awad Ahmed al-Bandar, ex-président du tribunal révolutionnaire, et Taha Yassine Ramadan, l'ancien vice-président irakien.
