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Le goutte-à-goutte, qui amène directement l'eau au pied des plantes, est la technologie «vedette» en matière d'économie d'eau dans l'agriculture, affirme le quotidien français pour qui cette technologie permet de réduire de 50% environ les quantités utilisées et partant de faire baisser la facture.
La région de Fès, irriguée par les eaux du fleuve Sebou, est plutôt bien arrosée, note-il.
Cité par la publication, M. Mostapha Errahj, professeur à l'Ecole nationale d'agriculture de Meknès, estime qu'on «peut gagner beaucoup en entretenant les réseaux de distribution et en utilisant le goutte-à-goutte».
Le goutte-à-goutte intéresse les agriculteurs du Moyen-Sebou parce qu'il s'agit d'un milieu «innovateur», affirme M. Errahj, faisant observer que l'irrigation est arrivée dans la zone il y a tout juste dix ans et que depuis lors, «les rendements augmentent et beaucoup de choses ont changé».
Le gouvernement marocain «veut développer fortement le goutte-à-goutte, présent sur 10% seulement des surfaces irriguées du pays», relève le quotidien, rappelant à cet égard le lancement en 2007 d'un plan d'économie visant à y «convertir 550.000 hectares en quinze ans, soit la moitié de la superficie irriguée marocaine».
La région de Fès, irriguée par les eaux du fleuve Sebou, est plutôt bien arrosée, note-il.
Cité par la publication, M. Mostapha Errahj, professeur à l'Ecole nationale d'agriculture de Meknès, estime qu'on «peut gagner beaucoup en entretenant les réseaux de distribution et en utilisant le goutte-à-goutte».
Le goutte-à-goutte intéresse les agriculteurs du Moyen-Sebou parce qu'il s'agit d'un milieu «innovateur», affirme M. Errahj, faisant observer que l'irrigation est arrivée dans la zone il y a tout juste dix ans et que depuis lors, «les rendements augmentent et beaucoup de choses ont changé».
Le gouvernement marocain «veut développer fortement le goutte-à-goutte, présent sur 10% seulement des surfaces irriguées du pays», relève le quotidien, rappelant à cet égard le lancement en 2007 d'un plan d'économie visant à y «convertir 550.000 hectares en quinze ans, soit la moitié de la superficie irriguée marocaine».
