Intitulée «code-barre», cette exposition donne à voir les œuvres de ces deux artistes, «considérées parmi les plus créatives de leur génération», a confié à la MAP, Aziz Daki, critique d'art.
Safaâ et Jamila fondent leurs œuvres sur une absence de couleurs, a-t-il ajouté, précisant que la première privilégie un univers blanc qui symbolise, selon elle, l'absence, l'immatérialité, la transparence et la fragilité alors que la seconde préfère une dominante noire accompagnée de fils de soie, tissus et fibres en laine, papillons, abats-jour en soie, baguettes chinoises, teinture de satin, perles fines, papiers d'aluminium et boules de papiers.
Native de Tétouan, Safaâ Erruas (33 ans) est diplômée de l'Institut des Beaux-Arts de Tétouan.
Son travail, «délicat et fin» comme il est, pourrait s'apparenter à une oeuvre de haute couture, où des matières telles les tissus, coton, aiguilles, papier de soie et perles se retrouvent, a-t-il indiqué.
Safaâ Erruas a exposé ses dernières oeuvres aussi bien au Maroc qu'à l'étranger notamment en Allemagne, en Egypte, en Belgique, en Angleterre, en Italie ainsi qu'en Espagne.
Née en 1972 à Al-Hoceima et diplômée de l'Institut des Beaux-Arts de Tétouan, Jamila Lamrani, s'est lancée, quant à elle, dans des installations audacieuses, en disposant dans l'espace des matériaux simples et fragiles.
Elle a pris part à de nombreuses manifestations internationales, dont la prestigieuse biennale de l'art africain contemporain à Dakar.
Safaâ et Jamila fondent leurs œuvres sur une absence de couleurs, a-t-il ajouté, précisant que la première privilégie un univers blanc qui symbolise, selon elle, l'absence, l'immatérialité, la transparence et la fragilité alors que la seconde préfère une dominante noire accompagnée de fils de soie, tissus et fibres en laine, papillons, abats-jour en soie, baguettes chinoises, teinture de satin, perles fines, papiers d'aluminium et boules de papiers.
Native de Tétouan, Safaâ Erruas (33 ans) est diplômée de l'Institut des Beaux-Arts de Tétouan.
Son travail, «délicat et fin» comme il est, pourrait s'apparenter à une oeuvre de haute couture, où des matières telles les tissus, coton, aiguilles, papier de soie et perles se retrouvent, a-t-il indiqué.
Safaâ Erruas a exposé ses dernières oeuvres aussi bien au Maroc qu'à l'étranger notamment en Allemagne, en Egypte, en Belgique, en Angleterre, en Italie ainsi qu'en Espagne.
Née en 1972 à Al-Hoceima et diplômée de l'Institut des Beaux-Arts de Tétouan, Jamila Lamrani, s'est lancée, quant à elle, dans des installations audacieuses, en disposant dans l'espace des matériaux simples et fragiles.
Elle a pris part à de nombreuses manifestations internationales, dont la prestigieuse biennale de l'art africain contemporain à Dakar.
