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Cette première session, qui s'inscrit dans le cadre d'un programme intensif de formation initié par l'Institut au profit des femmes potentiellement candidates aux prochaines élections communales dans plusieurs régions du Royaume, a connu la participation d'un nombre important de femmes de différentes appartenances politiques, a expliqué Siham Bojji, responsable principale des Programmes de NDI au Maroc.
Cette activité a pour objectif de préparer et d'initier ces femmes aux différentes méthodes et techniques à utiliser pour mener une campagne électorale efficace, a-t-elle ajouté dans une déclaration à la presse, précisant que plusieurs thèmes ont été baordés portant sur «stratégie et planning de la campagne électorale, élaboration du message, communication avec les électeurs et mobilisation d'une équipe».
A l'issue de cette formation, des guides techniques de la campagne électorale et des guides juridiques préparés par l'Institut ont été distribués aux 80 femmes présentes à cette session et qui sont venues, outre Essaouira, de Marrakech et d'Imintanout, a-t-elle encore ajouté, notant que ce programme de formation est financé par le département d'Etat américain à travers le programme MEPI (Middle East Partneship initiative).
De son côté, le directeur résident de NDI au Maroc, M. Felix Ulloa, a souligné que cette initiative a pour objectif également de soutenir les efforts déployés pour la promotion de la participation politique des femmes et leur représentativité dans les communes.
Mettant l'accent sur les réformes réalisées dans le code électoral, plus particulièrement celle relative à la réservation d'un minimum de 12 pc des sièges aux femmes lors des prochaines élections communales, M. Ulloa a estimé qu'il est temps pour les femmes marocaines de profiter de ce changement, et surtout de la volonté de SM le Roi de renforcer la présence de la femme dans les conseils communaux.
Il a rappelé dans ce sens le discours prononcé par S.M. le Roi Mohammed VI à l'ouverture de la session parlementaire d'automne, le 10 octobre dernier, et dans lequel le Souverain avait appelé à «une collaboration constructive entre le gouvernement et le Parlement dans la mise en place de mécanismes efficients à même de favoriser une représentation adéquate et une présence plus large des femmes au sein des conseils communaux, tant pour ce qui concerne les candidatures qu'au niveau du scrutin».
Pour Mme Fatima Chhibat, membre du Conseil municipal d'Essaouira qui a participé à cette formation, cette initiative est fort louable d'autant plus qu'elle contribue au renforcement des capacités et des compétences des femmes dans la perspective des prochaines élections et pour qu'elles participent activement à l'édification du Maroc moderne.
Cette activité a pour objectif de préparer et d'initier ces femmes aux différentes méthodes et techniques à utiliser pour mener une campagne électorale efficace, a-t-elle ajouté dans une déclaration à la presse, précisant que plusieurs thèmes ont été baordés portant sur «stratégie et planning de la campagne électorale, élaboration du message, communication avec les électeurs et mobilisation d'une équipe».
A l'issue de cette formation, des guides techniques de la campagne électorale et des guides juridiques préparés par l'Institut ont été distribués aux 80 femmes présentes à cette session et qui sont venues, outre Essaouira, de Marrakech et d'Imintanout, a-t-elle encore ajouté, notant que ce programme de formation est financé par le département d'Etat américain à travers le programme MEPI (Middle East Partneship initiative).
De son côté, le directeur résident de NDI au Maroc, M. Felix Ulloa, a souligné que cette initiative a pour objectif également de soutenir les efforts déployés pour la promotion de la participation politique des femmes et leur représentativité dans les communes.
Mettant l'accent sur les réformes réalisées dans le code électoral, plus particulièrement celle relative à la réservation d'un minimum de 12 pc des sièges aux femmes lors des prochaines élections communales, M. Ulloa a estimé qu'il est temps pour les femmes marocaines de profiter de ce changement, et surtout de la volonté de SM le Roi de renforcer la présence de la femme dans les conseils communaux.
Il a rappelé dans ce sens le discours prononcé par S.M. le Roi Mohammed VI à l'ouverture de la session parlementaire d'automne, le 10 octobre dernier, et dans lequel le Souverain avait appelé à «une collaboration constructive entre le gouvernement et le Parlement dans la mise en place de mécanismes efficients à même de favoriser une représentation adéquate et une présence plus large des femmes au sein des conseils communaux, tant pour ce qui concerne les candidatures qu'au niveau du scrutin».
Pour Mme Fatima Chhibat, membre du Conseil municipal d'Essaouira qui a participé à cette formation, cette initiative est fort louable d'autant plus qu'elle contribue au renforcement des capacités et des compétences des femmes dans la perspective des prochaines élections et pour qu'elles participent activement à l'édification du Maroc moderne.
