Intervenant lors de la cérémonie de prestation de serment de Farah Pandith, nommée à ce poste en juin dernier, Mme Clinton a souligné que les Etats-Unis cherchent un nouveau départ dans leurs relations avec le monde musulman, fondé sur le respect et l'intérêt mutuels, relevant que ces relations nécessitent l'échange des idées et des points de vue dans le but de promouvoir la paix et la prospérité mondiales.
«Nous sommes conscients que cela va nécessiter de la patience, de la persévérance et beaucoup de travail», a reconnu la secrétaire d'Etat, faisant remarquer que la nomination d'une représentante spéciale n'est pas une fin en soi.
La création de ce poste, a-t-elle souligné, entend affirmer l'engagement total des Etats-Unis à aller de l'avant dans le dialogue avec le monde musulman, soulignant que ce dialogue ne va pas se focaliser uniquement sur le terrorisme ou le radicalisme, mais devra aborder «tout ce que nous avons en commun».
Le département d'Etat avait annoncé, fin juin dernier dans un communiqué, la nomination de Farah Pandith, une américaine musulmane d'origine indienne, au poste de représentante spéciale des Etats-Unis auprès des communautés musulmanes.
Farah Pandith «apporte des années d'expérience à ce poste et elle jouera un rô_le de premier plan dans nos efforts pour dialoguer avec les musulmans de par le monde», avait souligné Mme Clinton dans ce communiqué.
Avant cette nomination, Mme Pandith était chargée au sein du Département d'Etat des liens avec les communautés musulmanes en Europe.
«Nous sommes conscients que cela va nécessiter de la patience, de la persévérance et beaucoup de travail», a reconnu la secrétaire d'Etat, faisant remarquer que la nomination d'une représentante spéciale n'est pas une fin en soi.
La création de ce poste, a-t-elle souligné, entend affirmer l'engagement total des Etats-Unis à aller de l'avant dans le dialogue avec le monde musulman, soulignant que ce dialogue ne va pas se focaliser uniquement sur le terrorisme ou le radicalisme, mais devra aborder «tout ce que nous avons en commun».
Le département d'Etat avait annoncé, fin juin dernier dans un communiqué, la nomination de Farah Pandith, une américaine musulmane d'origine indienne, au poste de représentante spéciale des Etats-Unis auprès des communautés musulmanes.
Farah Pandith «apporte des années d'expérience à ce poste et elle jouera un rô_le de premier plan dans nos efforts pour dialoguer avec les musulmans de par le monde», avait souligné Mme Clinton dans ce communiqué.
Avant cette nomination, Mme Pandith était chargée au sein du Département d'Etat des liens avec les communautés musulmanes en Europe.
