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La venue du Président iranien à Genève avaient été annoncée la semaine dernière par des sources diplomatiques mais non confirmée officiellement.
"Plus de 35 Etats ont confirmé leur participation à la conférence (...) A ce jour, le nombre de présidents et vice-présidents est le suivant : cinq (présidents), de Timor-Leste, du Togo, d'Iran, du Monténégro et un vice-président, de Zambie", a expliqué la porte-parole de l'Onu Marie Heuzé, lors d'un point de presse à Genève.
L'Egypte, le Nigeria, la Norvège, l'Afrique du Sud envoient pour leur part leur ministre des Affaires étrangères et le Lesotho son Premier ministre, a ajouté la porte-parole.
La Conférence de "Durban II" sur le racisme, qui se déroule du 20 au 24 avril à Genève, doit être ouverte par le secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon.
Préparée dans un climat houleux, la conférence paraît désormais en passe d'être sauvée après la mise en place d'un projet de déclaration finale, nettoyé des sujets de discorde lui permettant de disposer d'un large consensus au sein des Etats participants.
Cette conférence doit assurer le suivi de celle organisée en 2001 dans la ville sud-africaine de Durban, qui avait débouché sur l'adoption d'un plan d'action contre le racisme mais s'était terminée dans la confusion et sur des accusations d'antisémitisme.
"Plus de 35 Etats ont confirmé leur participation à la conférence (...) A ce jour, le nombre de présidents et vice-présidents est le suivant : cinq (présidents), de Timor-Leste, du Togo, d'Iran, du Monténégro et un vice-président, de Zambie", a expliqué la porte-parole de l'Onu Marie Heuzé, lors d'un point de presse à Genève.
L'Egypte, le Nigeria, la Norvège, l'Afrique du Sud envoient pour leur part leur ministre des Affaires étrangères et le Lesotho son Premier ministre, a ajouté la porte-parole.
La Conférence de "Durban II" sur le racisme, qui se déroule du 20 au 24 avril à Genève, doit être ouverte par le secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon.
Préparée dans un climat houleux, la conférence paraît désormais en passe d'être sauvée après la mise en place d'un projet de déclaration finale, nettoyé des sujets de discorde lui permettant de disposer d'un large consensus au sein des Etats participants.
Cette conférence doit assurer le suivi de celle organisée en 2001 dans la ville sud-africaine de Durban, qui avait débouché sur l'adoption d'un plan d'action contre le racisme mais s'était terminée dans la confusion et sur des accusations d'antisémitisme.
