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«La détermination des objectifs et la définition de stratégies permettant de les réaliser, dans le cadre d'approches intégrées, multidimensionnelles et conformément aux exigences de prévisibilité et de flexibilité devant guider l'intervention de l'Onu, constituent la toile de fond sur laquelle doit reposer tout processus de consolidation de la paix», a affirmé M. Loulichki qui intervenait, lundi, devant la Commission onusienne de la consolidation de la paix.
A cet égard, il a ajouté que «la consolidation de la paix doit être présente et prise en considération lors de la mise en œuvre de l'Opération de maintien de la Paix», estimant que les stratégies élaborées par la Commission de consolidation de la paix doivent constituer le cadre pilote autour duquel doivent s'articuler les actions et programmes des différents acteurs concernés.
Il a, également mis l'accent sur la nécessité d'envisager «l'intégration du recouvrement économique, en parallèle, avec les autres tâches de consolidation de la paix, telles la réforme du secteur de la sécurité, l'Etat de droit, le renforcement de l'autorité de l'Etat et la justice transitionnelle».
«Reléguer, en dernier lieu, le recouvrement économique du pays sortant d'un conflit, compromettrait la mise en œuvre des accords de paix et comporterait le risque de récidive dans de nouveaux conflits», a poursuivi l'ambassadeur, estimant que «les populations ont besoin de croire au retour définitif à la normalité, aux possibilités de vies décentes et à leur droit à la dignité».
Le diplomate a, en outre, souligné que la réussite de la consolidation de la paix nécessite «la conjugaison et l'harmonisation des efforts internationaux», relevant que «ces efforts doivent prendre en compte primordialement, la reconstruction économique des pays ravagés par des années de guerre».
«Il est de la plus haute importance d'assurer une consolidation efficace des efforts de tous les intervenants, ce qui permettrait d'agencer les actions et programmes des différents acteurs de consolidation de la paix, chacun dans sa spécialité, afin qu'ils interviennent de manière homogène et cohérente et parviennent à relever, en même temps et de manière simultanée, les multiples défis politiques, sécuritaires et développementaux «, a-t-il dit.
Dans son rapport à la Commission, le secrétaire général, Ban Ki-moon, indique-t-on, a notamment insisté sur l'importance du renforcement des capacités nationales, soulignant également le rôle des acteurs régionaux dans la mise en place de conditions favorables à la consolidation de la paix dans les pays émergents de conflits.
A cet égard, il a ajouté que «la consolidation de la paix doit être présente et prise en considération lors de la mise en œuvre de l'Opération de maintien de la Paix», estimant que les stratégies élaborées par la Commission de consolidation de la paix doivent constituer le cadre pilote autour duquel doivent s'articuler les actions et programmes des différents acteurs concernés.
Il a, également mis l'accent sur la nécessité d'envisager «l'intégration du recouvrement économique, en parallèle, avec les autres tâches de consolidation de la paix, telles la réforme du secteur de la sécurité, l'Etat de droit, le renforcement de l'autorité de l'Etat et la justice transitionnelle».
«Reléguer, en dernier lieu, le recouvrement économique du pays sortant d'un conflit, compromettrait la mise en œuvre des accords de paix et comporterait le risque de récidive dans de nouveaux conflits», a poursuivi l'ambassadeur, estimant que «les populations ont besoin de croire au retour définitif à la normalité, aux possibilités de vies décentes et à leur droit à la dignité».
Le diplomate a, en outre, souligné que la réussite de la consolidation de la paix nécessite «la conjugaison et l'harmonisation des efforts internationaux», relevant que «ces efforts doivent prendre en compte primordialement, la reconstruction économique des pays ravagés par des années de guerre».
«Il est de la plus haute importance d'assurer une consolidation efficace des efforts de tous les intervenants, ce qui permettrait d'agencer les actions et programmes des différents acteurs de consolidation de la paix, chacun dans sa spécialité, afin qu'ils interviennent de manière homogène et cohérente et parviennent à relever, en même temps et de manière simultanée, les multiples défis politiques, sécuritaires et développementaux «, a-t-il dit.
Dans son rapport à la Commission, le secrétaire général, Ban Ki-moon, indique-t-on, a notamment insisté sur l'importance du renforcement des capacités nationales, soulignant également le rôle des acteurs régionaux dans la mise en place de conditions favorables à la consolidation de la paix dans les pays émergents de conflits.
