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Vers 10h00 GMT (11h00 à Paris), l'euro s'échangeait à 1,2878 dollar contre 1,2824 dollar vendredi vers 22h00 GMT.
Face au yen, l'euro progressait également, à 121,16 yens contre 119,63 yens vendredi soir.
Le dollar avançait aussi face au yen, à 94,22 yens pour un dollar contre 93,29 vendredi.
"Il n'y aura pas d'indicateurs qui animeront le marché des changes dans les prochaines heures, bien que les spéculations sur une augmentation de la part de l'Etat dans Citigroup ne devraient clairement pas aider à soutenir la confiance dans le dollar" commentait James Hughes, de CMC Markets.
Les autorités américaines envisagent une nationalisation partielle du groupe bancaire Citigroup, l'Etat américain s'emparant de 25% à 40% du capital, a rapporté dimanche le Wall Street Journal.
Le président de la Réserve fédérale américaine, Ben Bernanke, sera auditionné mardi et mercredi devant le Congrès et pourrait aborder la question de l'assouplissement quantitatif, "ce qui pourrait peser sur le dollar" selon les analystes de Barclays Capital.
Les investisseurs guetteront aussi le discours du Président Barack Obama qui s'apprête à dévoiler un ambitieux plan censé réduire de moitié en quatre ans l'abyssal déficit budgétaire des Etats-Unis.
En outre, le secrétaire au Trésor américain, Timothy Geithner, devrait lever un peu plus le voile, cette semaine, sur le plan de stabilisation du système financier. Les marchés avaient été déçus par l'absence de clarté sur ce plan annoncé le 10 février.
Enfin, les marchés seront attentifs à une série d'indicateurs clés américains publiés cette semaine, notamment les commandes de biens durables et les ventes de logements neufs jeudi. La deuxième estimation du PIB au quatrième trimestre et la confiance des consommateurs mesurée par l'université du Michigan seront diffusés vendredi.
"Dans la zone euro, les discussions sur de plus amples régulations pourraient peser sur la monnaie unique dans la mesure où tout ce qui semble restrictif pour les affaires entraînera des ventes d'euros" ajoutait James Hughes.
Les Européens du G20 réunis dimanche à Berlin ont affiché leur détermination à réguler et surveiller l'ensemble des acteurs des marchés, y compris des fonds d'investissement spéculatifs (hedge funds), mais ont renvoyé les décisions concrètes au sommet de Londres en avril.
Limitant également l'ardeur des cambistes à acquérir des euros, le président de la Banque centrale européenne (BCE), Jean-Claude Trichet, a indiqué lundi avoir observé "au cours des dernières semaines "les premiers signes d'une baisse de l'offre de crédit".
Vers 10h00 GMT, la livre sterling progressait face à l'euro à 88,40 pence pour un euro, et face au dollar à 1,4551 dollar.
La monnaie helvétique reculait face à la devise européenne, à 1,4893 franc suisse pour un euro, comme face au dollar, à 1,1584 franc suisse pour un dollar.
L'once d'or s'échangeait à 986,94 dollars contre 989 dollars vendredi au fixing du soir, après avoir touché un nouveau plus haut depuis près d'un an à 1.006,29 dollars vendredi après la clôture des échanges européens.
Face au yen, l'euro progressait également, à 121,16 yens contre 119,63 yens vendredi soir.
Le dollar avançait aussi face au yen, à 94,22 yens pour un dollar contre 93,29 vendredi.
"Il n'y aura pas d'indicateurs qui animeront le marché des changes dans les prochaines heures, bien que les spéculations sur une augmentation de la part de l'Etat dans Citigroup ne devraient clairement pas aider à soutenir la confiance dans le dollar" commentait James Hughes, de CMC Markets.
Les autorités américaines envisagent une nationalisation partielle du groupe bancaire Citigroup, l'Etat américain s'emparant de 25% à 40% du capital, a rapporté dimanche le Wall Street Journal.
Le président de la Réserve fédérale américaine, Ben Bernanke, sera auditionné mardi et mercredi devant le Congrès et pourrait aborder la question de l'assouplissement quantitatif, "ce qui pourrait peser sur le dollar" selon les analystes de Barclays Capital.
Les investisseurs guetteront aussi le discours du Président Barack Obama qui s'apprête à dévoiler un ambitieux plan censé réduire de moitié en quatre ans l'abyssal déficit budgétaire des Etats-Unis.
En outre, le secrétaire au Trésor américain, Timothy Geithner, devrait lever un peu plus le voile, cette semaine, sur le plan de stabilisation du système financier. Les marchés avaient été déçus par l'absence de clarté sur ce plan annoncé le 10 février.
Enfin, les marchés seront attentifs à une série d'indicateurs clés américains publiés cette semaine, notamment les commandes de biens durables et les ventes de logements neufs jeudi. La deuxième estimation du PIB au quatrième trimestre et la confiance des consommateurs mesurée par l'université du Michigan seront diffusés vendredi.
"Dans la zone euro, les discussions sur de plus amples régulations pourraient peser sur la monnaie unique dans la mesure où tout ce qui semble restrictif pour les affaires entraînera des ventes d'euros" ajoutait James Hughes.
Les Européens du G20 réunis dimanche à Berlin ont affiché leur détermination à réguler et surveiller l'ensemble des acteurs des marchés, y compris des fonds d'investissement spéculatifs (hedge funds), mais ont renvoyé les décisions concrètes au sommet de Londres en avril.
Limitant également l'ardeur des cambistes à acquérir des euros, le président de la Banque centrale européenne (BCE), Jean-Claude Trichet, a indiqué lundi avoir observé "au cours des dernières semaines "les premiers signes d'une baisse de l'offre de crédit".
Vers 10h00 GMT, la livre sterling progressait face à l'euro à 88,40 pence pour un euro, et face au dollar à 1,4551 dollar.
La monnaie helvétique reculait face à la devise européenne, à 1,4893 franc suisse pour un euro, comme face au dollar, à 1,1584 franc suisse pour un dollar.
L'once d'or s'échangeait à 986,94 dollars contre 989 dollars vendredi au fixing du soir, après avoir touché un nouveau plus haut depuis près d'un an à 1.006,29 dollars vendredi après la clôture des échanges européens.
