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Le Festival, inauguré en 2008 par l'Institut européen de la Méditerranée, prétend réunir les expressions musicales riches et diversifiées et les variétés instrumentales qui cohabitent et font la richesse du bassin de la Méditerranée.
Cinq grands concerts de musique religieuse et traditionnelle de la Méditerranée seront organisés dans le cadre de ce festival qui se tiendra au printemps et à l'automne 2009 (avril-juin) et (novembre-décembre), dans deux espaces spécialement pensés pour ce genre d'interprétations musicales : l'église de Sant Felip Neri et le Petit Palau de la Musique Catalane.
Ces concerts seront animés par des artistes en provenance de la région du Maghreb principalement le Maroc et de la rive est de la Méditerranée, ainsi que d'autres régions européennes comme les Balkans, la Grèce et la Sardaigne.
Selon les organisateurs, la Diva Amazighe marocaine, Chérifa Kersit, qui se produira vers 20h30 au petit palau de la Musique de Catalogne en concert inaugural du cycle de musiques de la Méditerranée, va "plonger les spectateurs dans les mystères de la musique berbère du moyen Atlas".
Accompagné de Raho El Moussaoui (Bendir et Chœur), Abderrahim Agour (Bendir et Chœur) et Aziz Aarim (Louthar et Chœur), va interpréter, au rythme de l'Ahidous, la danse traditionnelle du Moyen Atlas, le meilleur de son répertoire, des chansons et des poèmes lyriques amazighs qui parlent de l'amour, du bonheur, de la mélancolie ainsi que d'autres thèmes philosophiques de la vie.
Née dans la région de Khénifra en 1967, Chérifa Kersit a fait ses débuts dans les mariages et les fêtes du village. Malgré l'opposition de ses parents, elle se lance dans l'aventure artistique en tant que professionnelle.
C'est sa rencontre avec le célèbre chanteur amazigh Mohamed Rouicha dans les années 80 qui va la propulser dans le monde des artistes amazighs connus et reconnus au niveau national et international.
En 1999, elle est conviée au premier festival des voix et danses des femmes marocaines de Paris dans le cadre du "Temps du Maroc en France". Depuis lors, elle sera invitée de façon régulière à se produire dans des espaces emblématiques de la capitale française comme le Théâtre de la ville ou encore l'Institut du monde arabe.
Depuis cette date, Chérifa Kersit s'est imposée comme une figue de proue de la chanson amazighe marocaine et comme héritière et dépositaire de la tradition poétique ancestrale de l'Atlas.
Cinq grands concerts de musique religieuse et traditionnelle de la Méditerranée seront organisés dans le cadre de ce festival qui se tiendra au printemps et à l'automne 2009 (avril-juin) et (novembre-décembre), dans deux espaces spécialement pensés pour ce genre d'interprétations musicales : l'église de Sant Felip Neri et le Petit Palau de la Musique Catalane.
Ces concerts seront animés par des artistes en provenance de la région du Maghreb principalement le Maroc et de la rive est de la Méditerranée, ainsi que d'autres régions européennes comme les Balkans, la Grèce et la Sardaigne.
Selon les organisateurs, la Diva Amazighe marocaine, Chérifa Kersit, qui se produira vers 20h30 au petit palau de la Musique de Catalogne en concert inaugural du cycle de musiques de la Méditerranée, va "plonger les spectateurs dans les mystères de la musique berbère du moyen Atlas".
Accompagné de Raho El Moussaoui (Bendir et Chœur), Abderrahim Agour (Bendir et Chœur) et Aziz Aarim (Louthar et Chœur), va interpréter, au rythme de l'Ahidous, la danse traditionnelle du Moyen Atlas, le meilleur de son répertoire, des chansons et des poèmes lyriques amazighs qui parlent de l'amour, du bonheur, de la mélancolie ainsi que d'autres thèmes philosophiques de la vie.
Née dans la région de Khénifra en 1967, Chérifa Kersit a fait ses débuts dans les mariages et les fêtes du village. Malgré l'opposition de ses parents, elle se lance dans l'aventure artistique en tant que professionnelle.
C'est sa rencontre avec le célèbre chanteur amazigh Mohamed Rouicha dans les années 80 qui va la propulser dans le monde des artistes amazighs connus et reconnus au niveau national et international.
En 1999, elle est conviée au premier festival des voix et danses des femmes marocaines de Paris dans le cadre du "Temps du Maroc en France". Depuis lors, elle sera invitée de façon régulière à se produire dans des espaces emblématiques de la capitale française comme le Théâtre de la ville ou encore l'Institut du monde arabe.
Depuis cette date, Chérifa Kersit s'est imposée comme une figue de proue de la chanson amazighe marocaine et comme héritière et dépositaire de la tradition poétique ancestrale de l'Atlas.
