Les participants à la cinquième rencontre régionale des présidents des conseils élus des régions de Tanger-Tétouan, Gharb-Chrarda-Beni Hssen et Taza-Al-Hoceima-Taounate, ont mis l'accent sur la nécessité pour les collectivités locales d'élaborer, dans le cadre de ce programme, des stratégies de développement local traçant de manière claire les objectifs de la gestion des services publics.
S'exprimant à cette occasion, le wali directeur général des collectivités locales, Noureddine Boutayeb, a appelé ces entités territoriales à mettre en place ces stratégies avant juin 2010 et à activer la mise en œuvre de la stratégie de développement urbain en raison de l'élargissement croissant du tissu urbain.
Il a, également, plaidé pour la restructuration et la modernisation de la gestion des ressources humaines, à travers l'encouragement des compétences, l'encadrement administratif et la formation, soulignant l'importance de développer les ressources financière en activant les taxes locales, en dynamisant la gestion du patrimoine communal et en améliorant le cadre budgétaire et comptable.
M. Boutayeb a, aussi, souligné l'importance d'adopter une gestion professionnelle du service public et de recourir à une délégation contrôlée de certains services, notant le rôle de plus en plus important des NTIC dans l'accompagnement du projet de l'administration électronique lancé au Maroc.
Il a indiqué, par ailleurs, que le ministère de l'Intérieure œuvre pour garantir le succès de «La commune à l'horizon 2015», à travers le parachèvement du cadre juridique de la gestion communale des ressources financières et humaines.
De nouveaux mécanismes seront introduits pour améliorer la gestion des services sociaux, notamment la création de «sociétés de développement local» au capital partagé entre les collectivités et les opérateurs privés, permettant aux communes de piloter la gestion de ses services tout en profitant des méthodes de gestion du privé, a-t-il indiqué.
M. Boutayeb a, également, évoqué le chantier de modernisation de l'état civil, qui s'étale de 2009 à 2012 pour une enveloppe de 600 millions de DH, et qui vise la numérisation de près de 45 millions d'actes de naissance et la mise à niveau et le raccordement au réseau Internet de 2.172 centres de l'état civil.
S'exprimant à cette occasion, le wali directeur général des collectivités locales, Noureddine Boutayeb, a appelé ces entités territoriales à mettre en place ces stratégies avant juin 2010 et à activer la mise en œuvre de la stratégie de développement urbain en raison de l'élargissement croissant du tissu urbain.
Il a, également, plaidé pour la restructuration et la modernisation de la gestion des ressources humaines, à travers l'encouragement des compétences, l'encadrement administratif et la formation, soulignant l'importance de développer les ressources financière en activant les taxes locales, en dynamisant la gestion du patrimoine communal et en améliorant le cadre budgétaire et comptable.
M. Boutayeb a, aussi, souligné l'importance d'adopter une gestion professionnelle du service public et de recourir à une délégation contrôlée de certains services, notant le rôle de plus en plus important des NTIC dans l'accompagnement du projet de l'administration électronique lancé au Maroc.
Il a indiqué, par ailleurs, que le ministère de l'Intérieure œuvre pour garantir le succès de «La commune à l'horizon 2015», à travers le parachèvement du cadre juridique de la gestion communale des ressources financières et humaines.
De nouveaux mécanismes seront introduits pour améliorer la gestion des services sociaux, notamment la création de «sociétés de développement local» au capital partagé entre les collectivités et les opérateurs privés, permettant aux communes de piloter la gestion de ses services tout en profitant des méthodes de gestion du privé, a-t-il indiqué.
M. Boutayeb a, également, évoqué le chantier de modernisation de l'état civil, qui s'étale de 2009 à 2012 pour une enveloppe de 600 millions de DH, et qui vise la numérisation de près de 45 millions d'actes de naissance et la mise à niveau et le raccordement au réseau Internet de 2.172 centres de l'état civil.