Connexion
"Le problème est quand on arrête d'écrire sur la F1", a déclaré Ecclestone.
Mais "la Formule 1 se porte bien. J'ai vu beaucoup de dépassements en F1 ces dernières courses", a-t-il affirmé.
"En ce moment, si vous me demandiez sur quel pilote mettre mon argent, je ne saurais pas. C'est ce qui est bien. Je ne sais honnêtement pas qui va gagner", s'est réjoui Bernie Ecclestone.
"C'est dommage qu'on parle moins des courses que de la politique. Certains directeurs de course sont devenus des politiciens", a-t-il toutefois regretté.
Jeudi, les patrons des écuries Renault et Ferrari, Flavio Briatore et Stefano Domenicali, ont tenu des propos véhéments à propos de la Fédération internationale de l'automobile (FIA), qui a validé l'aérodynamique de Brawn GP, Toyota et Williams, que leurs écuries accusaient d'être non conformes.
"Ces deux équipes ont des champions du monde qui roulent pour elles. J'imagine qu'elles attendent plus que ce qui se passe en ce moment. Si elles payent beaucoup d'argent pour ces pilotes, elles veulent être devant", a commenté Ecclestone.
Le gestionnaire de la Formula one management (FOM) a par ailleurs déclaré que la Chine "continuerait à être une étape pour la Formule 1 après 2010", date à laquelle le contrat liant le circuit de Shanghai à la FOM arrivera à son terme, selon des médias locaux.
La Corée du Sud, où une course devrait se tenir dès l'an prochain, "n'a rien à voir avec Shanghai", a indiqué Bernie Ecclestone.
"Quand je suis venu en Asie, tout le monde a dit que j'étais fou. Mais ça n'a rien à voir avec l'argent, a-t-il remarqué. L'Asie grandit, alors que d'autres parties du monde meurent. C'est là la différence."
Mais "la Formule 1 se porte bien. J'ai vu beaucoup de dépassements en F1 ces dernières courses", a-t-il affirmé.
"En ce moment, si vous me demandiez sur quel pilote mettre mon argent, je ne saurais pas. C'est ce qui est bien. Je ne sais honnêtement pas qui va gagner", s'est réjoui Bernie Ecclestone.
"C'est dommage qu'on parle moins des courses que de la politique. Certains directeurs de course sont devenus des politiciens", a-t-il toutefois regretté.
Jeudi, les patrons des écuries Renault et Ferrari, Flavio Briatore et Stefano Domenicali, ont tenu des propos véhéments à propos de la Fédération internationale de l'automobile (FIA), qui a validé l'aérodynamique de Brawn GP, Toyota et Williams, que leurs écuries accusaient d'être non conformes.
"Ces deux équipes ont des champions du monde qui roulent pour elles. J'imagine qu'elles attendent plus que ce qui se passe en ce moment. Si elles payent beaucoup d'argent pour ces pilotes, elles veulent être devant", a commenté Ecclestone.
Le gestionnaire de la Formula one management (FOM) a par ailleurs déclaré que la Chine "continuerait à être une étape pour la Formule 1 après 2010", date à laquelle le contrat liant le circuit de Shanghai à la FOM arrivera à son terme, selon des médias locaux.
La Corée du Sud, où une course devrait se tenir dès l'an prochain, "n'a rien à voir avec Shanghai", a indiqué Bernie Ecclestone.
"Quand je suis venu en Asie, tout le monde a dit que j'étais fou. Mais ça n'a rien à voir avec l'argent, a-t-il remarqué. L'Asie grandit, alors que d'autres parties du monde meurent. C'est là la différence."
