Ce projet, dont la fin des travaux est prévue pour 2015, permettra la création de 1000 emplois à l'horizon 2011, a-t-il dit lors d'une rencontre sur «la méthodologie CMMI au service de l'Offshoring».
Cette nouvelle zone d'activité, dont la réalisation nécessitera un milliard de dirhams, sera construite sur une superficie globale de 22 ha et permettra de générer 15.000 emplois directs et 4 milliards de DH de chiffre d'affaires à l'horizon 2017.
Après Casanearshore et Technoplois de Rabat-Salé, Fès Shore est le troisième maillon d'un réseau de ces parcs intégrés dédiés aux activités de services informatiques, de traitement de données et de processus métiers.
Il prévoit des espaces de bureaux et de services s'étendant sur 131.000 m2 et offrira des prestations aux plus grandes entreprises multinationales et aux sociétés marocaines spécialisées qui vont s'y installer.
Pour sa part, Samir Belfkih, professeur universitaire, a donné sa vision sur l'offshoring au Maroc et les risques qui lui sont inhérents, rappelant que la délocalisation des activités contribue à la création de postes d'emploi, acquis qu'il convient de consolider à travers une évaluation exacte des différents enjeux de l'offshoring dans le but de promouvoir une véritable société du savoir et de pérenniser l'impact socio-économique de l'opération dans son ensemble.
C'est pourquoi, il est nécessaire pour le pays de développer davantage la formation des ressources humaines requises pour toutes les filières dans le souci d'assurer l'investisseur sur son avenir et de le satisfaire pour qu'il reste dans le pays, a-t-il estimé.
Abondant dans le même sens, un cadre du groupe français G-FIT a précisé que la délocalisation comporte un certain nombre de risques qu'il convient de maîtriser ayant trait surtout à la stabilité politique du pays, à la protection intellectuelle, à la qualité des connexions et au niveau des salaires et des coûts.
Il a été ensuite procédé à la présentation de la méthodologie CMMI (capacité d'intégration et maturité des projets informatiques).
La CMMI (Capability Maturity Model Integration) est un modèle de référence, un ensemble structuré de bonnes pratiques, destiné à appréhender, évaluer et améliorer les activités des entreprises d'ingénierie informatique.
Elle a été initialement développée par le Software Engineering Institute pour appréhender et mesurer la qualité des services rendus par les fournisseurs de logiciels informatiques du Département américain de la Défense.
La CMMI est maintenant largement employée par les entreprises d'ingénierie informatique, les directeurs des systèmes informatiques et les industriels pour évaluer et améliorer leurs propres développements de produits.
Initiée par G-FIT Maroc, Fès Shore et la Faculté des sciences et techniques (FST), cette manifestation visait notamment à anticiper, évaluer et répondre aux nouveaux défis de la mondialisation du développement informatique et à sensibiliser aux enjeux de l'offshoring au Maroc ainsi qu'à l'importance d'adopter une méthodologie éprouvée telle que la CMMI.
Cette nouvelle zone d'activité, dont la réalisation nécessitera un milliard de dirhams, sera construite sur une superficie globale de 22 ha et permettra de générer 15.000 emplois directs et 4 milliards de DH de chiffre d'affaires à l'horizon 2017.
Après Casanearshore et Technoplois de Rabat-Salé, Fès Shore est le troisième maillon d'un réseau de ces parcs intégrés dédiés aux activités de services informatiques, de traitement de données et de processus métiers.
Il prévoit des espaces de bureaux et de services s'étendant sur 131.000 m2 et offrira des prestations aux plus grandes entreprises multinationales et aux sociétés marocaines spécialisées qui vont s'y installer.
Pour sa part, Samir Belfkih, professeur universitaire, a donné sa vision sur l'offshoring au Maroc et les risques qui lui sont inhérents, rappelant que la délocalisation des activités contribue à la création de postes d'emploi, acquis qu'il convient de consolider à travers une évaluation exacte des différents enjeux de l'offshoring dans le but de promouvoir une véritable société du savoir et de pérenniser l'impact socio-économique de l'opération dans son ensemble.
C'est pourquoi, il est nécessaire pour le pays de développer davantage la formation des ressources humaines requises pour toutes les filières dans le souci d'assurer l'investisseur sur son avenir et de le satisfaire pour qu'il reste dans le pays, a-t-il estimé.
Abondant dans le même sens, un cadre du groupe français G-FIT a précisé que la délocalisation comporte un certain nombre de risques qu'il convient de maîtriser ayant trait surtout à la stabilité politique du pays, à la protection intellectuelle, à la qualité des connexions et au niveau des salaires et des coûts.
Il a été ensuite procédé à la présentation de la méthodologie CMMI (capacité d'intégration et maturité des projets informatiques).
La CMMI (Capability Maturity Model Integration) est un modèle de référence, un ensemble structuré de bonnes pratiques, destiné à appréhender, évaluer et améliorer les activités des entreprises d'ingénierie informatique.
Elle a été initialement développée par le Software Engineering Institute pour appréhender et mesurer la qualité des services rendus par les fournisseurs de logiciels informatiques du Département américain de la Défense.
La CMMI est maintenant largement employée par les entreprises d'ingénierie informatique, les directeurs des systèmes informatiques et les industriels pour évaluer et améliorer leurs propres développements de produits.
Initiée par G-FIT Maroc, Fès Shore et la Faculté des sciences et techniques (FST), cette manifestation visait notamment à anticiper, évaluer et répondre aux nouveaux défis de la mondialisation du développement informatique et à sensibiliser aux enjeux de l'offshoring au Maroc ainsi qu'à l'importance d'adopter une méthodologie éprouvée telle que la CMMI.
