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«Chef de file onusien en matière de développement et leader du groupe des Nations Unies pour le développement, le Pnud est appelé à accompagner les pays récipiendaires dans leurs efforts pour atteindre les OMD et pour faire face aux conséquences des crises» économique, financière et alimentaire, a relevé M.
Loulichki à l'occasion de la première session ordinaire du Conseil d'administration du Pnud et du Fond des Nations Unies pour la population (Fnuap).
Le diplomate marocain, qui a noté que ces crises risquent d'avoir des effets dévastateurs sur les progrès réalisés jusqu'à présent en matière de lutte contre la pauvreté et la faim et sur la réalisation des OMD, a ajouté que le Pnud est aussi appelé à accompagner les pays en développement pour mettre en oeuvre les recommandations de l'examen périodique universel, établi par le Conseil des droits de l'Homme, ayant trait au développement économique et social.
«Pour assumer ce rôle catalyseur, le Pnud devra poursuivre sa coordination avec les autres agences de développement des Nations unies, pour apporter le soutien nécessaire aux pays concernés en fonction de leurs priorités nationales», a poursuivi M. Loulichki.
A cet égard, il a estimé qu'«une attention particulière devrait être donnée à l'évaluation des conséquences des crises, des besoins de chaque pays et chaque région et des options politiques à suivre pour faire face aux défis posés».
«Ceci dit, le Pnud ne peut remplir pleinement son mandat sans disposer de ressources financières importantes, prévisibles et pluriannuelles. Le déséquilibre entre ses ressources de base ordinaires et les ressources non ordinaires affecte inévitablement son aptitude et sa capacité à appliquer son mandat et son programme stratégique d'une manière efficace», a-t-il toutefois souligné.
Il a, en sens, appelé les donateurs à «augmenter leurs contributions au Pnud et à faire en sorte que la crise économique et financière mondiale n'affecte pas le niveau de ressources financières requis que le Programme devrait continuer à mobiliser pour accompagner les efforts des pays en développement».
M. Loulichki s'est, par ailleurs, félicité de «la coopération entre le Maroc et le Pnud, marquée par un partenariat dans lequel la contribution du Programme onusien en termes de projets et de programmes est en harmonie avec les politiques nationales du Royaume».
«Nous nous réjouissons également des progrès accomplis, notamment depuis le lancement du programme de coopération 2007-2011, qui se propose d'apporter un appui à diverses stratégies sectorielles existantes en se basant sur les trois principaux axes d'intervention de l'Initiative nationale de développement humain (INDH) lancée par S.M. le Roi, en mai 2005, à savoir : le renforcement des capacités pour une gouvernance démocratique, la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale et l'énergie et l'environnement, le tout étant conçu et mis en oeuvre conjointement avec les parties prenantes de la société civile», a affirmé l'ambassadeur.
L'expérience du Pnud au Maroc et son expertise sont d'ailleurs, a-t-il conclu, de plus en plus reconnues, au niveau national, par les donateurs, qui lui confient ces dernières années davantage de fonds et de programmes à gérer.
Loulichki à l'occasion de la première session ordinaire du Conseil d'administration du Pnud et du Fond des Nations Unies pour la population (Fnuap).
Le diplomate marocain, qui a noté que ces crises risquent d'avoir des effets dévastateurs sur les progrès réalisés jusqu'à présent en matière de lutte contre la pauvreté et la faim et sur la réalisation des OMD, a ajouté que le Pnud est aussi appelé à accompagner les pays en développement pour mettre en oeuvre les recommandations de l'examen périodique universel, établi par le Conseil des droits de l'Homme, ayant trait au développement économique et social.
«Pour assumer ce rôle catalyseur, le Pnud devra poursuivre sa coordination avec les autres agences de développement des Nations unies, pour apporter le soutien nécessaire aux pays concernés en fonction de leurs priorités nationales», a poursuivi M. Loulichki.
A cet égard, il a estimé qu'«une attention particulière devrait être donnée à l'évaluation des conséquences des crises, des besoins de chaque pays et chaque région et des options politiques à suivre pour faire face aux défis posés».
«Ceci dit, le Pnud ne peut remplir pleinement son mandat sans disposer de ressources financières importantes, prévisibles et pluriannuelles. Le déséquilibre entre ses ressources de base ordinaires et les ressources non ordinaires affecte inévitablement son aptitude et sa capacité à appliquer son mandat et son programme stratégique d'une manière efficace», a-t-il toutefois souligné.
Il a, en sens, appelé les donateurs à «augmenter leurs contributions au Pnud et à faire en sorte que la crise économique et financière mondiale n'affecte pas le niveau de ressources financières requis que le Programme devrait continuer à mobiliser pour accompagner les efforts des pays en développement».
M. Loulichki s'est, par ailleurs, félicité de «la coopération entre le Maroc et le Pnud, marquée par un partenariat dans lequel la contribution du Programme onusien en termes de projets et de programmes est en harmonie avec les politiques nationales du Royaume».
«Nous nous réjouissons également des progrès accomplis, notamment depuis le lancement du programme de coopération 2007-2011, qui se propose d'apporter un appui à diverses stratégies sectorielles existantes en se basant sur les trois principaux axes d'intervention de l'Initiative nationale de développement humain (INDH) lancée par S.M. le Roi, en mai 2005, à savoir : le renforcement des capacités pour une gouvernance démocratique, la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale et l'énergie et l'environnement, le tout étant conçu et mis en oeuvre conjointement avec les parties prenantes de la société civile», a affirmé l'ambassadeur.
L'expérience du Pnud au Maroc et son expertise sont d'ailleurs, a-t-il conclu, de plus en plus reconnues, au niveau national, par les donateurs, qui lui confient ces dernières années davantage de fonds et de programmes à gérer.
