Ce taux dépasse le seuil des 15% considéré par l'OMS comme "situation d'urgence", indique cette organisation internationale qui mène des campagnes
contre la malnutrition.
Dans certaines régions du nord du pays, près de 40% des résidents se contentent d'un repas par jour et la situation risque de s'aggraver davantage à cause du déficit pluviométrique de l'actuelle saison des pluies (mars-mai), selon l'IRC.
Le Président kenyan, Mwai Kibaki avait lancé, en janvier dernier, un appel international d'aide alimentaire de 37 milliards de shillings (environ 480 millions de dollars) en vue d'assurer les besoins alimentaires de dix millions de personnes et avait déclaré que la situation de famine dans le pays est une "catastrophe nationale".
Parmi ce groupe affecté, trois millions vivent dans les régions arides et semi-arides, 2,5 millions de personnes vulnérables souffrant de diverses maladies tel le VIH/Sida, autant de résidents des bidonvilles et des zones marginalisées, 1,5 million d'enfants bénéficiant du programme d'alimentation à l'école et plus de 150.000 personnes déplacées internes par les violences post-électorales.
Le Programme alimentaire mondial (PAM) avait, également, lancé un appel aux donateurs afin d'augmenter son assistance alimentaire au pays et de toucher 3,5 millions de personnes affectées par la sécheresse et le risque de famine dans le pays.
contre la malnutrition.
Dans certaines régions du nord du pays, près de 40% des résidents se contentent d'un repas par jour et la situation risque de s'aggraver davantage à cause du déficit pluviométrique de l'actuelle saison des pluies (mars-mai), selon l'IRC.
Le Président kenyan, Mwai Kibaki avait lancé, en janvier dernier, un appel international d'aide alimentaire de 37 milliards de shillings (environ 480 millions de dollars) en vue d'assurer les besoins alimentaires de dix millions de personnes et avait déclaré que la situation de famine dans le pays est une "catastrophe nationale".
Parmi ce groupe affecté, trois millions vivent dans les régions arides et semi-arides, 2,5 millions de personnes vulnérables souffrant de diverses maladies tel le VIH/Sida, autant de résidents des bidonvilles et des zones marginalisées, 1,5 million d'enfants bénéficiant du programme d'alimentation à l'école et plus de 150.000 personnes déplacées internes par les violences post-électorales.
Le Programme alimentaire mondial (PAM) avait, également, lancé un appel aux donateurs afin d'augmenter son assistance alimentaire au pays et de toucher 3,5 millions de personnes affectées par la sécheresse et le risque de famine dans le pays.
