"Mon père a été libéré de la prison de Port-Soudan. Ils l'ont transporté par avion et est actuellement à la maison à Manshia (banlieue de Khartoum)", a déclaré à l'AFP sa fille, Omama Al-Tourabi.
Hassan Al-Tourabi avait été arrêté à la mi-janvier après avoir affirmé que le Président El-Béchir était "politiquement coupable" de crimes commis au Darfour et qu'il devait se rendre de son propre chef devant la Cour pénale internationale (CPI).
Tourabi, ancien mentor d'Omar El-Béchir aujourd'hui l'un de ses plus farouches opposants, avait été détenu dans une prison à Khartoum puis transféré à Port-Soudan sur la côte de la mer Rouge.
Selon sa famille, il était grippé depuis une semaine, sa température était haute de même que sa pression sanguine. "Nous l'avons vu à la prison et étions très préoccupés. Nous avons demandé s'il était possible de le rapatrier à la maison", a ajouté sa fille.
Or le week-end, "les fonctionnaires sont arrivés avec la proposition de le libérer de la prison afin qu'il puisse regagner la maison", a-t-elle indiqué sans préciser si les raisons de sa libération étaient politiques.
Hassan Al-Tourabi avait été arrêté à la mi-janvier après avoir affirmé que le Président El-Béchir était "politiquement coupable" de crimes commis au Darfour et qu'il devait se rendre de son propre chef devant la Cour pénale internationale (CPI).
Tourabi, ancien mentor d'Omar El-Béchir aujourd'hui l'un de ses plus farouches opposants, avait été détenu dans une prison à Khartoum puis transféré à Port-Soudan sur la côte de la mer Rouge.
Selon sa famille, il était grippé depuis une semaine, sa température était haute de même que sa pression sanguine. "Nous l'avons vu à la prison et étions très préoccupés. Nous avons demandé s'il était possible de le rapatrier à la maison", a ajouté sa fille.
Or le week-end, "les fonctionnaires sont arrivés avec la proposition de le libérer de la prison afin qu'il puisse regagner la maison", a-t-elle indiqué sans préciser si les raisons de sa libération étaient politiques.
