Après cinq jours d'expectative dans la station balnéaire d'Aqaba, unique issue maritime du royaume hachémite, les organisateurs ont décidé de rebrousser chemin vers la Syrie, en raison du refus catégorique opposé par les autorités égyptiennes à l'entrée de la caravane sur leur territoire par le port de Nouweibâ, sur la mer Rouge.
La Turquie, dont plusieurs ressortissants font partie du convoi, tente, depuis samedi dernier, une médiation entre les responsables de la campagne internationale de solidarité avec Gaza et la partie égyptienne, qui a promis d'autoriser le convoi d'atteindre le territoire palestinien à condition de changer l'itinéraire fixé initialement par les organisateurs.
Plusieurs membres du convoi ont souligné, dans des déclarations à la presse, qu'ils ne veulent pas de confrontation avec les autorités égyptiennes et qu'ils préfèrent parvenir à un compromis garantissant l'acheminement de l'aide humanitaire pour les populations de Gaza, assiégées depuis de longs mois par le blocus israélien.
Le convoi humanitaire était arrivé mardi dernier en Jordanie, en provenance de la Syrie, avec l'espoir d'atteindre la ville de Gaza dimanche 27 décembre, date qui coïncidait avec le premier anniversaire de l'agression israélienne contre le territoire palestinien.
Les organisations syndicales et partisanes et les populations ont réservé un accueil triomphal aux participants célébrés comme des héros durant leur séjour en Jordanie, dont les autorités ont facilité l'opération de transit de plus des 210 véhicules composants la caravane.
A son départ, le 6 décembre à Londres, le convoi comportait seulement une centaine de véhicules, auxquels se sont ajoutés 60 autres en Turquie. En cours de route, 50 nouveaux véhicules se sont joints à la caravane, qui rassemble quelque 450 activistes humanitaires d'Europe, d'Amérique et des pays arabes et islamiques, réunis à l'initiative du député britannique George Galloway, qui avait déjà organisé deux expéditions similaires cette année.
Dans un geste symbolique, les organisateurs ont baptisé des ambulances, qui seront offertes aux autorités dans la Bande de Gaza, du nom des 15 secouristes tués lors de la guerre israélienne contre le territoire.
La Turquie, dont plusieurs ressortissants font partie du convoi, tente, depuis samedi dernier, une médiation entre les responsables de la campagne internationale de solidarité avec Gaza et la partie égyptienne, qui a promis d'autoriser le convoi d'atteindre le territoire palestinien à condition de changer l'itinéraire fixé initialement par les organisateurs.
Plusieurs membres du convoi ont souligné, dans des déclarations à la presse, qu'ils ne veulent pas de confrontation avec les autorités égyptiennes et qu'ils préfèrent parvenir à un compromis garantissant l'acheminement de l'aide humanitaire pour les populations de Gaza, assiégées depuis de longs mois par le blocus israélien.
Le convoi humanitaire était arrivé mardi dernier en Jordanie, en provenance de la Syrie, avec l'espoir d'atteindre la ville de Gaza dimanche 27 décembre, date qui coïncidait avec le premier anniversaire de l'agression israélienne contre le territoire palestinien.
Les organisations syndicales et partisanes et les populations ont réservé un accueil triomphal aux participants célébrés comme des héros durant leur séjour en Jordanie, dont les autorités ont facilité l'opération de transit de plus des 210 véhicules composants la caravane.
A son départ, le 6 décembre à Londres, le convoi comportait seulement une centaine de véhicules, auxquels se sont ajoutés 60 autres en Turquie. En cours de route, 50 nouveaux véhicules se sont joints à la caravane, qui rassemble quelque 450 activistes humanitaires d'Europe, d'Amérique et des pays arabes et islamiques, réunis à l'initiative du député britannique George Galloway, qui avait déjà organisé deux expéditions similaires cette année.
Dans un geste symbolique, les organisateurs ont baptisé des ambulances, qui seront offertes aux autorités dans la Bande de Gaza, du nom des 15 secouristes tués lors de la guerre israélienne contre le territoire.
