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Intitulée «Taoufik El Oufir, architecte» (Editions Norma, France), cette monographie bilingue (français-anglais) revient sur près d'un quart de siècle d'exercice de l'architecte marocain, impliqué dans la réalisation de plusieurs grands chantiers au Maroc et à l'étranger, en décryptant une quarantaine de réalisations emblématiques (sièges administratifs, infrastructures hôtelières, centres commerciaux...etc.).
«L'objectif de cette monographie n'est pas de retracer mon parcours mais de permettre aux professionnels, actuels et futurs, d'avoir une référence sur l'architecture marocaine contemporaine, appelée à la fois à être créative, authentique et respectueuse de l'environnement, conformément à l'engagement du Maroc pour un développement durable», a-t-il confié à la MAP.
Fier du patrimoine légué par les générations passées, l'architecte marocain ne prône pour autant la nostalgie, mais plutôt, «son re-ancrage culturel dans le présent».
«Dès le début de ma carrière, j'ai souhaité que mon travail puisse à la fois renouer les vraies racines de mon pays et s'inscrire dans l'héritage de l'expérimentation architecturale, urbaine et cadastrale qui a façonné Casablanca et Rabat depuis le protectorat», a-t-il indiqué.
Ses travaux reflètent d'ailleurs parfaitement cette influence. Passionné de savoirs artisanaux et de technologies, il veille à intégrer les composantes de la culture, du patrimoine et de la civilisation dans une architecture contemporaine (choix de matériaux, calligraphie, labyrinthe...etc).
La dimension écologique est également très présente dans ses oeuvres (énergie solaire, arrosage grâce aux eaux récupérables, ventilation naturelle).
Fidèle à son engagement à contribuer au rayonnement de l'architecture marocaine, Taoufik El Oufir a, d'autres, projets en perspective dont la consécration, dit-il, «serait la mise en place d'une grande fondation pour l'architecture qui initierait le débat architectural et urbain au Maroc et le situerait à l'échelle internationale».
Né en 1958, Taoufik El Oufir est lauréat de l'Ecole spéciale d'architecture de Paris. Il a ouvert sa propre agence au Maroc en 1985 après avoir acquis une expérience internationale.
«L'objectif de cette monographie n'est pas de retracer mon parcours mais de permettre aux professionnels, actuels et futurs, d'avoir une référence sur l'architecture marocaine contemporaine, appelée à la fois à être créative, authentique et respectueuse de l'environnement, conformément à l'engagement du Maroc pour un développement durable», a-t-il confié à la MAP.
Fier du patrimoine légué par les générations passées, l'architecte marocain ne prône pour autant la nostalgie, mais plutôt, «son re-ancrage culturel dans le présent».
«Dès le début de ma carrière, j'ai souhaité que mon travail puisse à la fois renouer les vraies racines de mon pays et s'inscrire dans l'héritage de l'expérimentation architecturale, urbaine et cadastrale qui a façonné Casablanca et Rabat depuis le protectorat», a-t-il indiqué.
Ses travaux reflètent d'ailleurs parfaitement cette influence. Passionné de savoirs artisanaux et de technologies, il veille à intégrer les composantes de la culture, du patrimoine et de la civilisation dans une architecture contemporaine (choix de matériaux, calligraphie, labyrinthe...etc).
La dimension écologique est également très présente dans ses oeuvres (énergie solaire, arrosage grâce aux eaux récupérables, ventilation naturelle).
Fidèle à son engagement à contribuer au rayonnement de l'architecture marocaine, Taoufik El Oufir a, d'autres, projets en perspective dont la consécration, dit-il, «serait la mise en place d'une grande fondation pour l'architecture qui initierait le débat architectural et urbain au Maroc et le situerait à l'échelle internationale».
Né en 1958, Taoufik El Oufir est lauréat de l'Ecole spéciale d'architecture de Paris. Il a ouvert sa propre agence au Maroc en 1985 après avoir acquis une expérience internationale.
