«Les pays du Maghreb ont pu surmonter la crise. Toutefois, cela devrait nous inciter à développer et constituer cette Union maghrébine dans le cadre de la mise en place d'un axe vertical en créant un pôle économique euro-africain solide et fort», a souligné le diplomate marocain dans un entretien publié dans la dernière édition du bimensuel tunisien «L'économiste maghrébin».
Il a indiqué que le non Maghreb coûte deux points de croissance pour les pays de la région, lesquels «points de retard peuvent remédier à de sérieux problèmes comme le chômage des diplômés», ajoutant qu'il y a une certaine complémentarité à renforcer entre les pays maghrébins.
L'ambassadeur a, par ailleurs, mis l'accent sur la nécessité de déployer davantage d'efforts en termes de partenariat, de mise en oeuvre de l'accord d'Agadir et de règlement de tous les problèmes administratifs notamment les certificats de conformité, les certificats d'origine et la nomenclature douanière.
Il faut notamment pouvoir, dans le cadre de la mondialisation, soumissionner à des appels d'offres internationaux et le faire en groupe dans le cadre par exemple d'un consortium d'entreprises tuniso-marocaines, a dit l'ambassadeur, notant que chaque pays tout seul ne peut pas soumissionner quantitativement à ces appels d'offres, d'où «l'intérêt à constituer une Union maghrébine qui soit une réalité et une obligation».
S'agissant des relations entre le Maroc et la Tunisie, le diplomate marocain a estimé nécessaire d'«éliminer d'abord les problèmes administratifs, constituer et faciliter un bilatéral très fort qui sera le noyau du multilatéral et développer le partenariat au-delà de la concurrence locale».
Il a indiqué que le non Maghreb coûte deux points de croissance pour les pays de la région, lesquels «points de retard peuvent remédier à de sérieux problèmes comme le chômage des diplômés», ajoutant qu'il y a une certaine complémentarité à renforcer entre les pays maghrébins.
L'ambassadeur a, par ailleurs, mis l'accent sur la nécessité de déployer davantage d'efforts en termes de partenariat, de mise en oeuvre de l'accord d'Agadir et de règlement de tous les problèmes administratifs notamment les certificats de conformité, les certificats d'origine et la nomenclature douanière.
Il faut notamment pouvoir, dans le cadre de la mondialisation, soumissionner à des appels d'offres internationaux et le faire en groupe dans le cadre par exemple d'un consortium d'entreprises tuniso-marocaines, a dit l'ambassadeur, notant que chaque pays tout seul ne peut pas soumissionner quantitativement à ces appels d'offres, d'où «l'intérêt à constituer une Union maghrébine qui soit une réalité et une obligation».
S'agissant des relations entre le Maroc et la Tunisie, le diplomate marocain a estimé nécessaire d'«éliminer d'abord les problèmes administratifs, constituer et faciliter un bilatéral très fort qui sera le noyau du multilatéral et développer le partenariat au-delà de la concurrence locale».