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Le secrétaire général du ministère de l'Energie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement , Mohamed Yahya Zniber, a indiqué à cette occasion, que depuis l'intronisation de S.M. le Roi Mohammed VI, le Maroc s'est lancé dans un vaste chantier de réformes politiques, économiques et sociales qui ont ouvert de larges perspectives pour le développement démocratique, la promotion des libertés publiques, la réforme de la justice et l'amélioration des conditions de la femme, grâce notamment à l'adoption du code de la famille.
Outre la préservation des équilibres macroéconomiques, préoccupation majeure des pouvoirs publics, a-t-il dit, les réformes structurelles entreprises ont permis d'inscrire le pays dans une trajectoire de croissance forte et durable, de favoriser son entrée dans l'économie mondiale du savoir, d'améliorer la compétitivité des secteurs productifs et de promouvoir un développement humain soutenu.
D'ailleurs, les résultats atteints sur le plan économique durant la décennie écoulée ont été, selon lui, globalement probants, vu que l'inflation a été maîtrisée et le déficit budgétaire limité, alors qu'une forte progression des recettes fiscales et une forte baisse de la dette publique ont été enregistrées.
Les acquis réalisés sur le plan économique se sont favorablement répercutés sur les indicateurs sociaux, notamment en termes d'accroissement du revenu moyen par habitant, d'espérance de vie, de scolarisation et d'accès à la santé et aux infrastructures de base, a-t-il ajouté, rappelant que ces performances ont été unanimement saluées, comme en témoignent le classement des agences de notation, l'octroi d'un Statut avancé auprès de l'Union européenne et l'adhésion du Maroc à la déclaration de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) sur l'investissement international et les entreprises multinationales.
Grâce à ce socle solide, a poursuivi M. Zniber, l'économie marocaine a présenté une résilience relativement bonne face à la crise mondiale, en maintenant une bonne dynamique de croissance en 2009 (+5,3%) et en conservant des marges de manœuvre suffisantes pour soutenir la croissance en 2010.
Aussi, a relevé M. Zniber, le cap des réformes structurelles sera-t-il maintenu, notamment par la poursuite de la mise en œuvre des stratégies sectorielles volontaristes adoptées dans les secteurs stratégiques afin d'assurer une croissance économique forte et durable.
Ces stratégies, a-t-il expliqué, portent essentiellement sur les secteurs de l'agriculture, de l'immobilier, de la pêche maritime, des phosphates, du commerce, du tourisme, de l'enseignement, de l'énergie, des transports, des infrastructures et de l'environnement.
D'importants projets sont en cours de réalisation, a-t-il rappelé, citant l'extension du port Tanger-Med nécessitant un investissement de 27 milliards de DH, le lancement de la ligne à grande vitesse Tanger-Casablanca (20 MMDH) et la construction de stations balnéaires dans le cadre de la vision tourisme 2010 dont l'investissement requis s'élève à 9 milliards d'euros.
La politique d'ouverture du Maroc sur son environnement régional et mondial, a-t-il poursuivi, a permis de conforter sa position dans la région arabe et dans le cadre du partenariat euro-méditerranéen et de consolider ses relations avec les principaux moteurs de la croissance économique mondiale.
Le Maroc, qui a opté pour l'ouverture, la promotion de l'initiative privée et l'innovation, ainsi que pour des relations solidaires avec l'Inde, a-t-il noté, souhaiterait pouvoir compter sur les entreprises indiennes, déjà présentes dans la valorisation des phosphates, afin de contribuer significativement par leur investissement, leur expérience et leur savoir-faire à la réalisation des projets de développement dans tous les secteurs économiques et sociaux du pays.
Le deuxième Forum économique arabo-indien se tient durant deux jours, avec la participation des représentants de 19 pays arabes outre les patrons de grandes sociétés arabes et indiennes.
Au menu de cette rencontre figurent des tables rondes sur les opportunités d'investissement dans les domaines de l'énergie, des infrastructures et des PME ainsi que des rencontres entre les investisseurs des deux parties.
Le premier Forum de partenariat indo-arabe avait eu lieu à New Delhi le 18 avril 2008.
Outre la préservation des équilibres macroéconomiques, préoccupation majeure des pouvoirs publics, a-t-il dit, les réformes structurelles entreprises ont permis d'inscrire le pays dans une trajectoire de croissance forte et durable, de favoriser son entrée dans l'économie mondiale du savoir, d'améliorer la compétitivité des secteurs productifs et de promouvoir un développement humain soutenu.
D'ailleurs, les résultats atteints sur le plan économique durant la décennie écoulée ont été, selon lui, globalement probants, vu que l'inflation a été maîtrisée et le déficit budgétaire limité, alors qu'une forte progression des recettes fiscales et une forte baisse de la dette publique ont été enregistrées.
Les acquis réalisés sur le plan économique se sont favorablement répercutés sur les indicateurs sociaux, notamment en termes d'accroissement du revenu moyen par habitant, d'espérance de vie, de scolarisation et d'accès à la santé et aux infrastructures de base, a-t-il ajouté, rappelant que ces performances ont été unanimement saluées, comme en témoignent le classement des agences de notation, l'octroi d'un Statut avancé auprès de l'Union européenne et l'adhésion du Maroc à la déclaration de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) sur l'investissement international et les entreprises multinationales.
Grâce à ce socle solide, a poursuivi M. Zniber, l'économie marocaine a présenté une résilience relativement bonne face à la crise mondiale, en maintenant une bonne dynamique de croissance en 2009 (+5,3%) et en conservant des marges de manœuvre suffisantes pour soutenir la croissance en 2010.
Aussi, a relevé M. Zniber, le cap des réformes structurelles sera-t-il maintenu, notamment par la poursuite de la mise en œuvre des stratégies sectorielles volontaristes adoptées dans les secteurs stratégiques afin d'assurer une croissance économique forte et durable.
Ces stratégies, a-t-il expliqué, portent essentiellement sur les secteurs de l'agriculture, de l'immobilier, de la pêche maritime, des phosphates, du commerce, du tourisme, de l'enseignement, de l'énergie, des transports, des infrastructures et de l'environnement.
D'importants projets sont en cours de réalisation, a-t-il rappelé, citant l'extension du port Tanger-Med nécessitant un investissement de 27 milliards de DH, le lancement de la ligne à grande vitesse Tanger-Casablanca (20 MMDH) et la construction de stations balnéaires dans le cadre de la vision tourisme 2010 dont l'investissement requis s'élève à 9 milliards d'euros.
La politique d'ouverture du Maroc sur son environnement régional et mondial, a-t-il poursuivi, a permis de conforter sa position dans la région arabe et dans le cadre du partenariat euro-méditerranéen et de consolider ses relations avec les principaux moteurs de la croissance économique mondiale.
Le Maroc, qui a opté pour l'ouverture, la promotion de l'initiative privée et l'innovation, ainsi que pour des relations solidaires avec l'Inde, a-t-il noté, souhaiterait pouvoir compter sur les entreprises indiennes, déjà présentes dans la valorisation des phosphates, afin de contribuer significativement par leur investissement, leur expérience et leur savoir-faire à la réalisation des projets de développement dans tous les secteurs économiques et sociaux du pays.
Le deuxième Forum économique arabo-indien se tient durant deux jours, avec la participation des représentants de 19 pays arabes outre les patrons de grandes sociétés arabes et indiennes.
Au menu de cette rencontre figurent des tables rondes sur les opportunités d'investissement dans les domaines de l'énergie, des infrastructures et des PME ainsi que des rencontres entre les investisseurs des deux parties.
Le premier Forum de partenariat indo-arabe avait eu lieu à New Delhi le 18 avril 2008.
