La plus petite des victoires aurait convenu aux dirigeants marseillais dans l'optique de cette mission commando moscovite, mais la différence de buts très nettement revenue dans le vert (+5), dans la fraîcheur slovaque, grâce à cette tornade offensive sans précédent, pourrait s'avérer précieuse à l'heure du comptage final.
Un gouffre s'est creusé entre les deux équipes depuis le match aller le 20 octobre (1-0), où le champion de Slovaquie avait sérieusement inquiété l'OM. Un match nul aurait été équitable ce soir-là. Cette fois, Zilina n'a pas existé, passé au rouleau compresseur d'une formation française elle-même en forme ascendante.
La faiblesse de l'adversaire oblige évidemment à tempérer les enthousiasmes, mais l'OM a confirmé qu'il était sur la voie de sa meilleure forme, après une retentissante seconde mi-temps à Lille en championnat (1-3) le 31 octobre lors de son dernier match de L1.
Deschamps avait décidé d'aligner d'entrée Benoît Cheyrou. La concurrence d'André Ayew a visiblement aiguillonné le milieu marseillais, auteur de 3 passes décisives : la première sur coup-franc pour Gignac, qui ouvrait rapidement la marque du genou (0-1, 12), la seconde sur corner pour la tête croisée d'Heinze au premier poteau (0-3, 24) et la 3e d'un long centre tendu vers Rémy qui devançait la charnière slovaque (0-4, 36). Entre-temps, Gignac avait réussi le second de ses trois buts, lancé par un Kaboré très précieux à la récupération (0-2, 21) en position de sentinelle devant la défense.
Avec 61% de possession de balle avant la pause, l'OM était maître de la pelouse. Roi du milieu, l'OM poursuivait son incroyable festival après la pause, devant une équipe en déliquescence totale. Lucho, de la tête (0-5, 52) et en un contre-un (0-7, 63), Gignac de la tête lui aussi (0-6, 54) construisaient sans forcer le plus gros succès européen de l'histoire du club.
Un gouffre s'est creusé entre les deux équipes depuis le match aller le 20 octobre (1-0), où le champion de Slovaquie avait sérieusement inquiété l'OM. Un match nul aurait été équitable ce soir-là. Cette fois, Zilina n'a pas existé, passé au rouleau compresseur d'une formation française elle-même en forme ascendante.
La faiblesse de l'adversaire oblige évidemment à tempérer les enthousiasmes, mais l'OM a confirmé qu'il était sur la voie de sa meilleure forme, après une retentissante seconde mi-temps à Lille en championnat (1-3) le 31 octobre lors de son dernier match de L1.
Deschamps avait décidé d'aligner d'entrée Benoît Cheyrou. La concurrence d'André Ayew a visiblement aiguillonné le milieu marseillais, auteur de 3 passes décisives : la première sur coup-franc pour Gignac, qui ouvrait rapidement la marque du genou (0-1, 12), la seconde sur corner pour la tête croisée d'Heinze au premier poteau (0-3, 24) et la 3e d'un long centre tendu vers Rémy qui devançait la charnière slovaque (0-4, 36). Entre-temps, Gignac avait réussi le second de ses trois buts, lancé par un Kaboré très précieux à la récupération (0-2, 21) en position de sentinelle devant la défense.
Avec 61% de possession de balle avant la pause, l'OM était maître de la pelouse. Roi du milieu, l'OM poursuivait son incroyable festival après la pause, devant une équipe en déliquescence totale. Lucho, de la tête (0-5, 52) et en un contre-un (0-7, 63), Gignac de la tête lui aussi (0-6, 54) construisaient sans forcer le plus gros succès européen de l'histoire du club.
