Le but de la victoire a été inscrit par Andres Iniesta à la 116e minute, libérant les Ibériques au terme d'un match très disputé, haché par un jeu physique de part et d'autre et dont l'issue était imprévisible vu les occasions nettes qui se sont présentées pour les deux protagonistes .
Servi par Fabregas à droite de la surface de réparation, le Barcelonais contrôle la balle avant de tromper Stekelenburg d'un tir croisé imparable, permettant à son équipe, championne d'Europe en 2008, de réaliser le doublé Euro-Mondial et infligeant aux Néerlandais leur troisième défaite en finale, après 1974 et 1978.
Produisant leur jeu habituel, basé sur la possession de balle le plus longtemps possible et l'évolution par des passes courtes et des combinaisons rapides, les Espagnols ont dû faire face à un jeu rigoureux, voire parfois violent, des Hollandais, conscients qu'il ne faut surtout pas commettre l'erreur de l'Allemagne et laisser à leur adversaire l'occasion de s'installer sur le terrain et imposer leur jeu.
Après plusieurs alertes espagnoles, notamment par le biais de Sergio Ramos, qui a obligé le gardien Stekelenburg à se surpasser à deux reprises (5e et 11e minutes), le match a retrouvé un certain équilibre, où chacune des deux équipes semblait en mesure de trouver la faille.
Les plus nettes occasions des Oranje sont à mettre à l'actif d'Arjen Robben, qui s'est trouvé à deux reprises (62e et 83) face à face avec le gardien Iker Casillas et perdu son duel : la première fois, il a vu sa balle déviée par le capitaine de la Roja, qui a bien fermé l'angle de tir, et la deuxième il a été gêné par Carles Puyol, avant de butter sur son ancien équipier à Madrid.
Le tournant de la rencontre allait être l'expulsion pour cumul de deux avertissements de Heitinga, après avoir accroché Iniesta à la 109e minute, à sept minutes du but espagnol.
L'Espagne devient ainsi la huitième nation à mettre son nom au palmarès de la Coupe du monde, après l'Uruguay, l'Italie, l'Allemagne, le Brésil, l'Angleterre, l'Argentine et la France.
C'est également la première fois qu'une nation européenne remporte un Mondial disputé en dehors du Vieux Continent.
Servi par Fabregas à droite de la surface de réparation, le Barcelonais contrôle la balle avant de tromper Stekelenburg d'un tir croisé imparable, permettant à son équipe, championne d'Europe en 2008, de réaliser le doublé Euro-Mondial et infligeant aux Néerlandais leur troisième défaite en finale, après 1974 et 1978.
Produisant leur jeu habituel, basé sur la possession de balle le plus longtemps possible et l'évolution par des passes courtes et des combinaisons rapides, les Espagnols ont dû faire face à un jeu rigoureux, voire parfois violent, des Hollandais, conscients qu'il ne faut surtout pas commettre l'erreur de l'Allemagne et laisser à leur adversaire l'occasion de s'installer sur le terrain et imposer leur jeu.
Après plusieurs alertes espagnoles, notamment par le biais de Sergio Ramos, qui a obligé le gardien Stekelenburg à se surpasser à deux reprises (5e et 11e minutes), le match a retrouvé un certain équilibre, où chacune des deux équipes semblait en mesure de trouver la faille.
Les plus nettes occasions des Oranje sont à mettre à l'actif d'Arjen Robben, qui s'est trouvé à deux reprises (62e et 83) face à face avec le gardien Iker Casillas et perdu son duel : la première fois, il a vu sa balle déviée par le capitaine de la Roja, qui a bien fermé l'angle de tir, et la deuxième il a été gêné par Carles Puyol, avant de butter sur son ancien équipier à Madrid.
Le tournant de la rencontre allait être l'expulsion pour cumul de deux avertissements de Heitinga, après avoir accroché Iniesta à la 109e minute, à sept minutes du but espagnol.
L'Espagne devient ainsi la huitième nation à mettre son nom au palmarès de la Coupe du monde, après l'Uruguay, l'Italie, l'Allemagne, le Brésil, l'Angleterre, l'Argentine et la France.
C'est également la première fois qu'une nation européenne remporte un Mondial disputé en dehors du Vieux Continent.
