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Le ministre de l'Economie et des finances, M. Salaheddine Mezouar, a été désigné "Homme de l'année 2010" par la revue "Maroc Hebdo International".
M. Mezouar, qui parait "représentatif en termes de présence et d'action", a eu à faire face, durant l'année qui s'achève, à une des conjonctures internationales les plus difficiles en l'occurrence la crise financière, a souligne, mercredi, un communiqué de la publication.
Le Maroc, pays à économie émergeante et aux ressources limitées, mais aussi pays ouvert, historiquement, sur les échanges extérieurs, ne pouvait être complètement à l'abri, et se devait, tout au plus, de limiter les effets sur le tissu économique national, a fait observer l'hebdomadaire.
"C'est ce pari difficile, presque une gageure, que M. Mezouar a su relever avec capacité d'adaptation, habilité de gestion, expertise avérée et un sens élevé de responsabilité", a ajouté le communiqué.
En effet, a poursuivi la publication, "depuis 2007, ses lois de finances ont démontré leur pertinence au niveau des priorités et allocations budgétaires, à travers les différents secteurs d'activités économiques et sociales. Une stratégie rationnelle qui lui a valu la reconnaissance des élus de la nation, malgré quelques réticences à résonance plus politique que technique".
"On peut raisonnablement estimer, aujourd'hui, que M. Mezouar a su mener sa barque, en remettant régulièrement l'ouvrage sur le métier sans jamais rechigner sur le travail continu de suivi et d'accompagnement. Résultat, nos équilibres macro-économiques ont été saufs, du moins au prix d'un minimum de dégâts", a estimé la revue.
La revue a rappelé, en outre, que parallèlement à sa charge vitale pour l'économie du pays et ses ajustements sociaux, M. Mezouar a mené un autre combat au plan politique. "Il a redonné vie, consistance et un devenir politique plus avenant au RNI, en devenant son leader avec l'assentiment des cadres et adhérents de ce parti", a poursuivi l'hebdomadaire.
M. Mezouar est ainsi devenu "un techno-politique affirmé et confirmé, et c'est à ce double titre qu'il a marqué l'année 2010", a conclu le communiqué.
M. Mezouar, qui parait "représentatif en termes de présence et d'action", a eu à faire face, durant l'année qui s'achève, à une des conjonctures internationales les plus difficiles en l'occurrence la crise financière, a souligne, mercredi, un communiqué de la publication.
Le Maroc, pays à économie émergeante et aux ressources limitées, mais aussi pays ouvert, historiquement, sur les échanges extérieurs, ne pouvait être complètement à l'abri, et se devait, tout au plus, de limiter les effets sur le tissu économique national, a fait observer l'hebdomadaire.
"C'est ce pari difficile, presque une gageure, que M. Mezouar a su relever avec capacité d'adaptation, habilité de gestion, expertise avérée et un sens élevé de responsabilité", a ajouté le communiqué.
En effet, a poursuivi la publication, "depuis 2007, ses lois de finances ont démontré leur pertinence au niveau des priorités et allocations budgétaires, à travers les différents secteurs d'activités économiques et sociales. Une stratégie rationnelle qui lui a valu la reconnaissance des élus de la nation, malgré quelques réticences à résonance plus politique que technique".
"On peut raisonnablement estimer, aujourd'hui, que M. Mezouar a su mener sa barque, en remettant régulièrement l'ouvrage sur le métier sans jamais rechigner sur le travail continu de suivi et d'accompagnement. Résultat, nos équilibres macro-économiques ont été saufs, du moins au prix d'un minimum de dégâts", a estimé la revue.
La revue a rappelé, en outre, que parallèlement à sa charge vitale pour l'économie du pays et ses ajustements sociaux, M. Mezouar a mené un autre combat au plan politique. "Il a redonné vie, consistance et un devenir politique plus avenant au RNI, en devenant son leader avec l'assentiment des cadres et adhérents de ce parti", a poursuivi l'hebdomadaire.
M. Mezouar est ainsi devenu "un techno-politique affirmé et confirmé, et c'est à ce double titre qu'il a marqué l'année 2010", a conclu le communiqué.
