«La pression de l'UCI et de l'Ama a eu beaucoup de poids dans la proposition de sanction» de la Fédération espagnole de cyclisme (RFEC) annoncée le 26 janvier, a déclaré le champion cycliste, triple vainqueur du Tour de France.
La fédération espagnole doit donner très prochainement son avis final sur cette sanction, contre laquelle Alberto Contador avait fait appel.
Le coureur, qui clame son innocence, s'est dit prêt «à toutes les batailles qui se présenteront» mais a affirmé ne plus croire dans le système de lutte antidopage.
«Ils savent que j'ai toujours été impliqué dans la lutte antidopage. Tout le monde sait ce qui se passe et je me retrouve sous la menace d'une suspension, cela me fait perdre confiance», a-t-il dit.
Contador s'est encore dit «dégoûté et déçu» de l'attitude de la Fédération, affirmant que son cas «était politisé depuis longtemps» ce qui, selon lui, lui a porté préjudice.
«La Fédération dispose de toutes les informations que nous avons présentées. Il s'agit d'un important travail qui clarifie tout et ils pourraient s'appuyer sur un article qui fasse justice. Mais ils ne l'ont pas fait et pour cette raison je suis déçu», a-t-il ajouté.
Alberto Contador, 28 ans, a subi lors du Tour de France, le 21 juillet 2010 à Pau (sud-ouest de la France), un contrôle antidopage positif qui a révélé des traces infimes de clenbutérol, produit qui stimule la fonction pulmonaire et possède des effets anabolisants.
Le triple vainqueur du Tour de France (2007, 2009 et 2010) risque une suspension d'un an et la perte de sa victoire dans le Tour 2010.
La décision définitive, qui doit être connue autour de la mi-février, est susceptible de recours devant le Tribunal arbitral du sport de la part du coureur mais aussi de l'UCI et de l'Ama.
Contador s'est dit impatient de connaître la décision de la Fédération et a affirmé n'avoir «aucune intuition concrète» à ce sujet, en espérant seulement «que justice soit faite».
L'Ama, par la voix de son président John Fahey, a annoncé jeudi qu'elle attendrait d'avoir les éléments de la décision espagnole avant de décider d'un éventuel recours.
La fédération espagnole doit donner très prochainement son avis final sur cette sanction, contre laquelle Alberto Contador avait fait appel.
Le coureur, qui clame son innocence, s'est dit prêt «à toutes les batailles qui se présenteront» mais a affirmé ne plus croire dans le système de lutte antidopage.
«Ils savent que j'ai toujours été impliqué dans la lutte antidopage. Tout le monde sait ce qui se passe et je me retrouve sous la menace d'une suspension, cela me fait perdre confiance», a-t-il dit.
Contador s'est encore dit «dégoûté et déçu» de l'attitude de la Fédération, affirmant que son cas «était politisé depuis longtemps» ce qui, selon lui, lui a porté préjudice.
«La Fédération dispose de toutes les informations que nous avons présentées. Il s'agit d'un important travail qui clarifie tout et ils pourraient s'appuyer sur un article qui fasse justice. Mais ils ne l'ont pas fait et pour cette raison je suis déçu», a-t-il ajouté.
Alberto Contador, 28 ans, a subi lors du Tour de France, le 21 juillet 2010 à Pau (sud-ouest de la France), un contrôle antidopage positif qui a révélé des traces infimes de clenbutérol, produit qui stimule la fonction pulmonaire et possède des effets anabolisants.
Le triple vainqueur du Tour de France (2007, 2009 et 2010) risque une suspension d'un an et la perte de sa victoire dans le Tour 2010.
La décision définitive, qui doit être connue autour de la mi-février, est susceptible de recours devant le Tribunal arbitral du sport de la part du coureur mais aussi de l'UCI et de l'Ama.
Contador s'est dit impatient de connaître la décision de la Fédération et a affirmé n'avoir «aucune intuition concrète» à ce sujet, en espérant seulement «que justice soit faite».
L'Ama, par la voix de son président John Fahey, a annoncé jeudi qu'elle attendrait d'avoir les éléments de la décision espagnole avant de décider d'un éventuel recours.