«Le dialogue entre les cultures et les civilisations est nécessaire, mais il doit se passer dans des conditions d'égalité entre les parties en présence», a affirmé le ministre de la Culture, Bensalem Himmich, lors d'une table ronde sur «Le rôle de la société civile dans le renforcement du dialogue et de la paix», organisée dimanche à Alger, en marge de la 7e Conférence islamique des ministres de la Culture.
«Le dialogue entre les cultures et les civilisations est nécessaire et recommandé, mais il doit se passer dans des conditions d'égalité entre les parties en présence, pour qu'il ne soit pas un dialogue entre riches et pauvres, entre forts et faibles», a souligné Himmich, lors de cette rencontre, qui s'est déroulée en présence de l'ambassadeur du Maroc à Alger Abdellah Belkziz.
Il a, à ce sujet, mis l'accent sur la nécessité de «reconnaître à l'Autre le droit de penser et de s'exprimer», en vue de garantir les conditions d'un dialogue équilibré entre les interlocuteurs.
En outre, le ministre a, dans une déclaration à la MAP, insisté sur la nécessité de jeter la lumière sur les difficultés qui risquent d'empêcher ce dialogue d'être à la fois «instructif, utile et productif», mettant en exergue les efforts déployés par le Royaume pour l'ancrage de la culture du dialogue, comme il a loué l'initiative de l'Organisation islamique pour l'éducation, la culture et les sciences (Isesco) d'organiser cette table ronde.
La 7e Conférence islamique des ministres de la culture dont les travaux se sont ouverts dimanche à Alger examinera, deux jours durant, les rapports intersessions sur la mise en œuvre des stratégies de l'Isesco, ainsi que l'avant projet concernant l'initiative du Serviteur des Lieux Saints de l'Islam, le Roi Abdallah Ibn Abdelaziz Al-Saoud, pour le dialogue entre les religions et des cultures.
«Le dialogue entre les cultures et les civilisations est nécessaire et recommandé, mais il doit se passer dans des conditions d'égalité entre les parties en présence, pour qu'il ne soit pas un dialogue entre riches et pauvres, entre forts et faibles», a souligné Himmich, lors de cette rencontre, qui s'est déroulée en présence de l'ambassadeur du Maroc à Alger Abdellah Belkziz.
Il a, à ce sujet, mis l'accent sur la nécessité de «reconnaître à l'Autre le droit de penser et de s'exprimer», en vue de garantir les conditions d'un dialogue équilibré entre les interlocuteurs.
En outre, le ministre a, dans une déclaration à la MAP, insisté sur la nécessité de jeter la lumière sur les difficultés qui risquent d'empêcher ce dialogue d'être à la fois «instructif, utile et productif», mettant en exergue les efforts déployés par le Royaume pour l'ancrage de la culture du dialogue, comme il a loué l'initiative de l'Organisation islamique pour l'éducation, la culture et les sciences (Isesco) d'organiser cette table ronde.
La 7e Conférence islamique des ministres de la culture dont les travaux se sont ouverts dimanche à Alger examinera, deux jours durant, les rapports intersessions sur la mise en œuvre des stratégies de l'Isesco, ainsi que l'avant projet concernant l'initiative du Serviteur des Lieux Saints de l'Islam, le Roi Abdallah Ibn Abdelaziz Al-Saoud, pour le dialogue entre les religions et des cultures.
