La situation des droits humains au Maroc est perçue de «manière positive» par la communauté internationale, particulièrement après que le pays eut relevé le challenge d'élections législatives transparentes, les premières après l'adoption de la nouvelle Constitution, a affirmé l'ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l'Office des Nations unies à Genève, Omar Hilale.
Le rapport national présenté par le Maroc en 2008 était «positif» et a été favorablement accueilli par la Communauté internationale lors du dialogue interactif organisé pour la circonstance, a expliqué Hilale lors d'un point de presse, en marge du séminaire national sur l'Examen périodique universel (EPU), qui se tient les 2 et 3 décembre à Rabat.
Il s'est félicité des réalisations accomplies en matière de consécration des droits humains durant la période 2008/2011, soutenant que ces avancées donneront un souffle important au rapport national que le Maroc devra présenter lors des travaux de la 12e session du groupe de travail chargé du mécanisme de l'EPU, prévue le 22 mai prochain.
Il a estimé que le deuxième rapport national dans le cadre de l'EPU sera «une réussite du fait qu'il comporte une vision globale et une approche participative des droits humains».
Le diplomate a souligné que le Maroc compte parmi les rares pays à organiser des colloques, des rencontres et des concertations ouverts aux observateurs et organisations internationales concernés par la question des droits de l'Homme, en vue de «démontrer son sérieux et sa disposition à établir ce rapport à travers la participation de toutes les parties concernées par le renforcement des droits humains».
Ce colloque de deux jours, une initiative de la Délégation interministérielle aux droits de l'homme, vise à imprimer une dynamique à l'accompagnement du processus d'élaboration du rapport national sur l'EPU.
Ce processus a été entamé par la collecte effective des données et l'organisation de journées d'étude au profit des associations au niveau de certaines régions du Royaume, en passant par des rencontres de coordination et de concertation que la Délégation interministérielle devrait poursuivre en vue d'élaborer le rapport national avec l'ensemble des acteurs concernés par les droits humains (gouvernement, institutions nationales, experts et société civile).
Ce colloque est marqué par la participation des départements gouvernementaux et des institutions nationales concernées par les droits de l'Homme, d'organisations de la société civile, d'instances syndicales, de représentations diplomatiques accréditées au Maroc et d'experts nationaux et étrangers.
Le rapport national présenté par le Maroc en 2008 était «positif» et a été favorablement accueilli par la Communauté internationale lors du dialogue interactif organisé pour la circonstance, a expliqué Hilale lors d'un point de presse, en marge du séminaire national sur l'Examen périodique universel (EPU), qui se tient les 2 et 3 décembre à Rabat.
Il s'est félicité des réalisations accomplies en matière de consécration des droits humains durant la période 2008/2011, soutenant que ces avancées donneront un souffle important au rapport national que le Maroc devra présenter lors des travaux de la 12e session du groupe de travail chargé du mécanisme de l'EPU, prévue le 22 mai prochain.
Il a estimé que le deuxième rapport national dans le cadre de l'EPU sera «une réussite du fait qu'il comporte une vision globale et une approche participative des droits humains».
Le diplomate a souligné que le Maroc compte parmi les rares pays à organiser des colloques, des rencontres et des concertations ouverts aux observateurs et organisations internationales concernés par la question des droits de l'Homme, en vue de «démontrer son sérieux et sa disposition à établir ce rapport à travers la participation de toutes les parties concernées par le renforcement des droits humains».
Ce colloque de deux jours, une initiative de la Délégation interministérielle aux droits de l'homme, vise à imprimer une dynamique à l'accompagnement du processus d'élaboration du rapport national sur l'EPU.
Ce processus a été entamé par la collecte effective des données et l'organisation de journées d'étude au profit des associations au niveau de certaines régions du Royaume, en passant par des rencontres de coordination et de concertation que la Délégation interministérielle devrait poursuivre en vue d'élaborer le rapport national avec l'ensemble des acteurs concernés par les droits humains (gouvernement, institutions nationales, experts et société civile).
Ce colloque est marqué par la participation des départements gouvernementaux et des institutions nationales concernées par les droits de l'Homme, d'organisations de la société civile, d'instances syndicales, de représentations diplomatiques accréditées au Maroc et d'experts nationaux et étrangers.