Mardi et mercredi, le «gouvernement» du Cio se réunira pour la deuxième fois de l'année afin notamment de faire le point sur les dossiers d'actualité, comme celui des paris en ligne, et de statuer sur le sort des sept épreuves candidates à l'entrée au programme olympique d'hiver lors des Jeux de Sotchi, en 2014.
Le saut à skis féminin, le ski half-pipe (messieurs et dames), le ski et snowboard slopestyle (messieurs et dames), le relais mixte en biathlon ont de bonnes chances d'être inscrits au calendrier des prochains JO.
En revanche, le Cio pourrait hésiter à adouber les épreuves de luge par équipes et en relais qui n'ont pas convaincu lors des derniers Championnats du monde.
Mais l'actualité de la semaine se jouera cette fois hors des réunions feutrées des Olympiens, dans les salons d'un hôtel de luxe au bord de la Tamise où la centaine de fédérations sportives affiliées, les décideurs, les chefs d'entreprises, medias et autres agences de marketing liés au sport se mêleront dans le cadre de la convention Sport Accord.
Les quelque 1700 participants attendus à ce sommet annuel sont invités, vaste programme, à débattre de «l'importance du sport».
Le maire de Londres Boris Johnson est notamment attendu pour expliquer en quoi le sport est important pour les villes, et en particulier ce qu'ont changé les jeux Olympiques pour Londres. Il en sera de même pour les medias, les entreprises, l'économie, l'industrie du divertissement.
Les présidents de quasiment toutes les fédérations internationales, olympiques ou non, sont attendus à Londres où se jouera également en partie le sort des villes candidates à l'organisation des JO d'hiver de 2018.
Annecy (France), Pyeongchang (Corée du Sud) et Munich (Allemagne) auront en effet l'occasion jeudi de présenter leur candidature devant les délégués de Sport Accord, parmi lesquels de nombreux membres du CIO appelés à voter lors de l'élection du 6 juillet.
Ce sera la première des trois présentations cruciales des candidates avant Lausanne (18 et 19 mai) et Durban (Afrique du Sud), le jour de l'élection.
Sport Accord, baptisée Association générale des fédérations internationales de sport (AGFIS) jusqu'en 2009, réunit plus de cent fédérations sous la présidence d'Hein Verbruggen, ancien patron de la Fédération internationale de cyclisme (UCI), en relation étroite avec le mouvement olympique.
Le programme :
Mardi 5 avril : commission exécutive du Cio
Mercredi 6 : suite et fin de la commission exécutive du Cio
Ouverture de la convention Sport Accord et débat sur «l'importance du sport»
Jeudi 7 : suite et fin de la convention Sport Accord et présentation des villes candidates à l'organisation des JO-2018
Vendredi 8 : AG de Sport Accord
Visite des installations olympiques.
Le saut à skis féminin, le ski half-pipe (messieurs et dames), le ski et snowboard slopestyle (messieurs et dames), le relais mixte en biathlon ont de bonnes chances d'être inscrits au calendrier des prochains JO.
En revanche, le Cio pourrait hésiter à adouber les épreuves de luge par équipes et en relais qui n'ont pas convaincu lors des derniers Championnats du monde.
Mais l'actualité de la semaine se jouera cette fois hors des réunions feutrées des Olympiens, dans les salons d'un hôtel de luxe au bord de la Tamise où la centaine de fédérations sportives affiliées, les décideurs, les chefs d'entreprises, medias et autres agences de marketing liés au sport se mêleront dans le cadre de la convention Sport Accord.
Les quelque 1700 participants attendus à ce sommet annuel sont invités, vaste programme, à débattre de «l'importance du sport».
Le maire de Londres Boris Johnson est notamment attendu pour expliquer en quoi le sport est important pour les villes, et en particulier ce qu'ont changé les jeux Olympiques pour Londres. Il en sera de même pour les medias, les entreprises, l'économie, l'industrie du divertissement.
Les présidents de quasiment toutes les fédérations internationales, olympiques ou non, sont attendus à Londres où se jouera également en partie le sort des villes candidates à l'organisation des JO d'hiver de 2018.
Annecy (France), Pyeongchang (Corée du Sud) et Munich (Allemagne) auront en effet l'occasion jeudi de présenter leur candidature devant les délégués de Sport Accord, parmi lesquels de nombreux membres du CIO appelés à voter lors de l'élection du 6 juillet.
Ce sera la première des trois présentations cruciales des candidates avant Lausanne (18 et 19 mai) et Durban (Afrique du Sud), le jour de l'élection.
Sport Accord, baptisée Association générale des fédérations internationales de sport (AGFIS) jusqu'en 2009, réunit plus de cent fédérations sous la présidence d'Hein Verbruggen, ancien patron de la Fédération internationale de cyclisme (UCI), en relation étroite avec le mouvement olympique.
Le programme :
Mardi 5 avril : commission exécutive du Cio
Mercredi 6 : suite et fin de la commission exécutive du Cio
Ouverture de la convention Sport Accord et débat sur «l'importance du sport»
Jeudi 7 : suite et fin de la convention Sport Accord et présentation des villes candidates à l'organisation des JO-2018
Vendredi 8 : AG de Sport Accord
Visite des installations olympiques.