Zahra, qui sera accompagnée au piano du jeune prodige arménien Tigran Hamasyan, ainsi que du trompettiste libanais Ibrahim Maalouf, entre autres, offrira un concert qui relève du «blues folk sans frontière, une sorte de soul music de porcelaine, un enchainement d'escales allant de la terre berbère à celle des Amériques».
Une fusion qui s'inscrit, selon les initiateurs, en droite ligne avec la vocation du Festival qui «s'amuse à enjamber les frontières entre les styles musicaux», en accueillant chaque année «des créateurs parmi les plus engagés et novateurs du hip-hop, des musiques improvisées, de la pop ou du funk».
La chanteuse marocaine, originaire d'Agadir, accumule les succès en France depuis la sortie de son premier album «Hand Made» en 2010, où elle propose des ballades musicales chantées en anglais et en berbère.
Il a été récompensé du prix Constantin 2010 dédié aux jeunes talents ayant marqué l'année musicale en France, avant de remporter en 2011 la «Victoire de la musique», récompensant les artistes, concerts et albums de l'année toute catégorie.
C'est elle-même qui avait écrit, composé, chanté, mixé et produit cet album bercé de folks, soul urbain et blues du désert.
Issue d'une famille d'artistes qui compte parmi les plus célèbres d'entre eux le groupe Oudaden, sa mère et ses oncles l'initient à la musique traditionnelle de Gnaoua.
Ainsi, Hindi Zahra pratique avec les siens les rythmes ancestraux et les plus belles mélodies du répertoire oriental.
Une fusion qui s'inscrit, selon les initiateurs, en droite ligne avec la vocation du Festival qui «s'amuse à enjamber les frontières entre les styles musicaux», en accueillant chaque année «des créateurs parmi les plus engagés et novateurs du hip-hop, des musiques improvisées, de la pop ou du funk».
La chanteuse marocaine, originaire d'Agadir, accumule les succès en France depuis la sortie de son premier album «Hand Made» en 2010, où elle propose des ballades musicales chantées en anglais et en berbère.
Il a été récompensé du prix Constantin 2010 dédié aux jeunes talents ayant marqué l'année musicale en France, avant de remporter en 2011 la «Victoire de la musique», récompensant les artistes, concerts et albums de l'année toute catégorie.
C'est elle-même qui avait écrit, composé, chanté, mixé et produit cet album bercé de folks, soul urbain et blues du désert.
Issue d'une famille d'artistes qui compte parmi les plus célèbres d'entre eux le groupe Oudaden, sa mère et ses oncles l'initient à la musique traditionnelle de Gnaoua.
Ainsi, Hindi Zahra pratique avec les siens les rythmes ancestraux et les plus belles mélodies du répertoire oriental.