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S'exprimant lors de la cérémonie de signature de deux protocoles d'entente entre le Maroc et le Canada en matière d'éducation et de formation professionnelle, El Fassi s'est dit satisfait du développement continu des relations de coopération bilatérale, rappelant que S.M. le Roi Mohammed VI avait souligné, dans le Discours du Trône de 2004, que le Canada est parmi les pays amis «avec lesquels nous avons toujours eu des liens privilégiés, fondés sur le respect mutuel et des intérêts communs».
Il a réitéré la disposition du Maroc à renforcer et à développer son partenariat avec le Canada dans l'ensemble des domaines de coopération au service des intérêts communs et pour contribuer à l'instauration de la paix et de la sécurité et à la réalisation du progrès et de la prospérité.
El Fassi a relevé que le Maroc, qui partage avec le Canada les mêmes préoccupations sur les scènes régionale et internationale, considère que la promotion de la paix internationale nécessite notamment de redoubler d'efforts pour soutenir le processus de paix au Proche-Orient.
Il a estimé que le conflit israélo-palestinien attise toutes les formes de haine et d'extrême et ne permet pas à cette région de jouer son rôle dans le développement économique et pour assurer la paix et la sécurité au niveau international.
Le Premier ministre a, également, souligné qu'il n'y aura pas de paix dans la région sans une solution à ce conflit fondée sur la création d'un Etat palestinien indépendant, avec Al-Qods comme capitale.
Conscient de l'interaction entre les intérêts géostratégiques et sécuritaires dans les régions de l'Afrique du nord et sahélo-saharienne, le Maroc considère que les défis sécuritaires liés à la montée du terrorisme et de toutes les formes de trafic d'armes et de drogue nécessitent une action collective et ne peuvent être combattus de façon unilatérale, a poursuivi El Fassi.
Ces défis requièrent une coopération entre les pays de la région d'une part et la communauté internationale d'autre part, ainsi que la multiplication des efforts pour assurer un développement économique durable à même de garantir la prospérité et le progrès des peuples et de permettre de les épargner de toutes les formes d'extrémisme, a-t-il ajouté.
Selon Abbas El Fassi, la réalisation de la paix et la sécurité régionales exige la consolidation des liens de solidarité et de coopération constructive entre les peuples du Maghreb que le Maroc n'a cessé d'appeler de ses vœux.
Il a d'autre part rappelé que le Royaume insiste sur la nécessité de résoudre le conflit artificiel autour du Sahara marocain à travers une solution politique basée sur le réalisme et l'esprit de compromis, mettant l'accent à cet égard sur la dynamique enclenchée par l'initiative marocaine d'autonomie au Sahara.
El Fassi et le Premier ministre canadien, Stephen Harper avaient auparavant présidé la cérémonie de signature de deux protocoles d'entente portant sur le «projet d'appui à la réforme de l'éducation par le biais de l'approche par compétences» (Reapc) et le «projet d'appui à la gestion des établissements du Maroc» (Pagesm).
Le Premier ministre canadien a entamé mercredi une visite officielle dans le Royaume, destinée à renforcer la coopération économique entre les deux pays et à consolider le dialogue politique au niveau bilatéral, régional et international.
Il a réitéré la disposition du Maroc à renforcer et à développer son partenariat avec le Canada dans l'ensemble des domaines de coopération au service des intérêts communs et pour contribuer à l'instauration de la paix et de la sécurité et à la réalisation du progrès et de la prospérité.
El Fassi a relevé que le Maroc, qui partage avec le Canada les mêmes préoccupations sur les scènes régionale et internationale, considère que la promotion de la paix internationale nécessite notamment de redoubler d'efforts pour soutenir le processus de paix au Proche-Orient.
Il a estimé que le conflit israélo-palestinien attise toutes les formes de haine et d'extrême et ne permet pas à cette région de jouer son rôle dans le développement économique et pour assurer la paix et la sécurité au niveau international.
Le Premier ministre a, également, souligné qu'il n'y aura pas de paix dans la région sans une solution à ce conflit fondée sur la création d'un Etat palestinien indépendant, avec Al-Qods comme capitale.
Conscient de l'interaction entre les intérêts géostratégiques et sécuritaires dans les régions de l'Afrique du nord et sahélo-saharienne, le Maroc considère que les défis sécuritaires liés à la montée du terrorisme et de toutes les formes de trafic d'armes et de drogue nécessitent une action collective et ne peuvent être combattus de façon unilatérale, a poursuivi El Fassi.
Ces défis requièrent une coopération entre les pays de la région d'une part et la communauté internationale d'autre part, ainsi que la multiplication des efforts pour assurer un développement économique durable à même de garantir la prospérité et le progrès des peuples et de permettre de les épargner de toutes les formes d'extrémisme, a-t-il ajouté.
Selon Abbas El Fassi, la réalisation de la paix et la sécurité régionales exige la consolidation des liens de solidarité et de coopération constructive entre les peuples du Maghreb que le Maroc n'a cessé d'appeler de ses vœux.
Il a d'autre part rappelé que le Royaume insiste sur la nécessité de résoudre le conflit artificiel autour du Sahara marocain à travers une solution politique basée sur le réalisme et l'esprit de compromis, mettant l'accent à cet égard sur la dynamique enclenchée par l'initiative marocaine d'autonomie au Sahara.
El Fassi et le Premier ministre canadien, Stephen Harper avaient auparavant présidé la cérémonie de signature de deux protocoles d'entente portant sur le «projet d'appui à la réforme de l'éducation par le biais de l'approche par compétences» (Reapc) et le «projet d'appui à la gestion des établissements du Maroc» (Pagesm).
Le Premier ministre canadien a entamé mercredi une visite officielle dans le Royaume, destinée à renforcer la coopération économique entre les deux pays et à consolider le dialogue politique au niveau bilatéral, régional et international.
