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Intervenant à l'ouverture du Forum de Rabat sur les «enjeux d'une intégration régionale africaine», Benamour a indiqué que l'Afrique «porte les fruits d'un présent et d'un avenir prometteurs» eu égard à ses richesses naturelles abondantes et ses ressources humaines qualifiées, ajoutant que le continent connaît une dynamique économique nouvelle confortée par les réformes structurelles engagées dans les différents domaines.
L'économie africaine est entrée dans un cycle de croissance de l'ordre de 5% par an favorisée essentiellement par la dynamique que connaissent les secteurs de la banque, des télécoms, du commerce et de l'industrie, a-t-il ajouté.
Benamour a appelé, à cet égard, à transformer le potentiel important que recèle le continent et d'accélérer la dynamique qu'il connaît pour qu'il puisse «bénéficier de manière équitable» à toutes ses populations.
Il a aussi mis l'accent sur la nécessité de dynamiser les échanges entre les pays africains aux niveaux politique, économique et social.
Le président du CDS a, en outre, exprimé sa conviction que le développement humain et la promotion d'un partenariat mutuellement fructueux entre le Maroc et ses voisins africains «sauront créer les conditions objectives d'une intégration régionale».
De son côté, le président du groupe Saham, Moulay Hafid El Alamy, a plaidé pour une exploitation optimale des potentiels créateurs de valeurs en Afrique, mettant l'accent sur l'importance d'encourager les investissements interafricains qui sont plus «profitables» que ceux réalisés dans l'occident.
Il a, également, insisté sur l'importance de l'ouverture des frontières dans l'espace maghrébin, notant qu'une telle mesure engendrera une croissance de 5% du Produit intérieur brut (PIB).
Organisé par le CDS sous le Haut patronage de S.M. le Roi Mohammed VI, le Forum de Rabat offre l'occasion de débattre de plusieurs thématiques ayant trait notamment à l'investissement et à l'intégration économique en Afrique ainsi qu'aux conditions de la convergence financière et aux rôles des médias dans le processus d'intégration.
L'économie africaine est entrée dans un cycle de croissance de l'ordre de 5% par an favorisée essentiellement par la dynamique que connaissent les secteurs de la banque, des télécoms, du commerce et de l'industrie, a-t-il ajouté.
Benamour a appelé, à cet égard, à transformer le potentiel important que recèle le continent et d'accélérer la dynamique qu'il connaît pour qu'il puisse «bénéficier de manière équitable» à toutes ses populations.
Il a aussi mis l'accent sur la nécessité de dynamiser les échanges entre les pays africains aux niveaux politique, économique et social.
Le président du CDS a, en outre, exprimé sa conviction que le développement humain et la promotion d'un partenariat mutuellement fructueux entre le Maroc et ses voisins africains «sauront créer les conditions objectives d'une intégration régionale».
De son côté, le président du groupe Saham, Moulay Hafid El Alamy, a plaidé pour une exploitation optimale des potentiels créateurs de valeurs en Afrique, mettant l'accent sur l'importance d'encourager les investissements interafricains qui sont plus «profitables» que ceux réalisés dans l'occident.
Il a, également, insisté sur l'importance de l'ouverture des frontières dans l'espace maghrébin, notant qu'une telle mesure engendrera une croissance de 5% du Produit intérieur brut (PIB).
Organisé par le CDS sous le Haut patronage de S.M. le Roi Mohammed VI, le Forum de Rabat offre l'occasion de débattre de plusieurs thématiques ayant trait notamment à l'investissement et à l'intégration économique en Afrique ainsi qu'aux conditions de la convergence financière et aux rôles des médias dans le processus d'intégration.
