Le premier long métrage de la réalisatrice marocaine Selma Bargach «La cinquième corde» ouvrira le Festival.
Ce film qui a reçu le prix du jury au Festival du cinéma africain de Khouribga en juillet dernier et prix du meilleur son ainsi qu'une mention spéciale du jury au Festival national de Tanger en février 2011 retrace le parcours d'un jeune marocain de 18 ans Malek passionné de musique et qui rêve de devenir luthiste.
Les films «L'Amante du Rif» de Narjis Nejjar et «Tu te souviens d'Adil» de Mohamed Zineddaine sont également au programme de cette manifestation, ainsi qu'un documentaire sur la musique hip hop «I love hip hop in Morocco».
Le Festival fait, en outre, la part belle au cinéma égyptien dont le menu est une sélection des meilleures œuvres récentes touchant à l'Egypte et plongeant le regard pendant trois jours durant au cœur de la révolution.
Il s'agit notamment, de «18 Days», film réalisé par dix cinéastes et interprété par une vingtaine d'acteurs et d'un documentaire qui présente des scènes et des images filmées spontanément par un groupe d'amis qui se trouvaient au milieu des émeutes du Caire.
Une table-ronde est également prévue autour des réalisateurs égyptiens dont les films sont programmés et qui évoqueront les évènements politiques récents et leur incidence sur le cinéma de leur pays.
Le Festival «Aflam» jette aussi la lumière sur la révolution tunisienne avec la projection de «L'auditorium», un documentaire du jeune réalisateur Karim Yaakoubi, qui s'est promené à travers les rues de la capitale du 14 janvier au 15 août pour livrer des témoignages inédits sur les revendications des tunisiens pendant les manifestations populaires.
Ce film qui a reçu le prix du jury au Festival du cinéma africain de Khouribga en juillet dernier et prix du meilleur son ainsi qu'une mention spéciale du jury au Festival national de Tanger en février 2011 retrace le parcours d'un jeune marocain de 18 ans Malek passionné de musique et qui rêve de devenir luthiste.
Les films «L'Amante du Rif» de Narjis Nejjar et «Tu te souviens d'Adil» de Mohamed Zineddaine sont également au programme de cette manifestation, ainsi qu'un documentaire sur la musique hip hop «I love hip hop in Morocco».
Le Festival fait, en outre, la part belle au cinéma égyptien dont le menu est une sélection des meilleures œuvres récentes touchant à l'Egypte et plongeant le regard pendant trois jours durant au cœur de la révolution.
Il s'agit notamment, de «18 Days», film réalisé par dix cinéastes et interprété par une vingtaine d'acteurs et d'un documentaire qui présente des scènes et des images filmées spontanément par un groupe d'amis qui se trouvaient au milieu des émeutes du Caire.
Une table-ronde est également prévue autour des réalisateurs égyptiens dont les films sont programmés et qui évoqueront les évènements politiques récents et leur incidence sur le cinéma de leur pays.
Le Festival «Aflam» jette aussi la lumière sur la révolution tunisienne avec la projection de «L'auditorium», un documentaire du jeune réalisateur Karim Yaakoubi, qui s'est promené à travers les rues de la capitale du 14 janvier au 15 août pour livrer des témoignages inédits sur les revendications des tunisiens pendant les manifestations populaires.
