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Ce rapport témoigne également de la mobilisation de Bank Al-Maghrib pour accompagner les engagements pris par notre pays, dans le cadre de la COP 21 et la COP 22, et affirme sa volonté d’être un acteur de référence en matière de responsabilité sociétale. « En tant qu’entreprise, la Banque a inscrit, depuis près d’une décennie, le développement durable comme orientation dans le cadre de ses plans stratégiques triennaux. Elle s’est ainsi focalisée sur la protection de l’environnement, la promotion de l’inclusion et de l’éducation financières, le développement du capital humain et la conduite d’un dialogue constructif avec les différentes parties prenantes, le tout dans un cadre de gouvernance sain et transparent », indique le gouverneur de Bank Al-Maghrib. Selon lui, ce rapport témoigne également de la mobilisation de Bank Al-Maghrib pour accompagner les engagements pris par notre pays, dans le cadre de la COP 21 et la COP 22, et affirme sa volonté d’être un acteur de référence en matière de responsabilité sociétale. Ce document de 36 pages met notamment en lumière la responsabilité sociétale au sein de Bank Al-Maghrib entant qu’orientation stratégique, les actions à l’égard du capital humain de l’Institution et de la communauté. Parmi les actions phares, le développement de l’inclusion financière qui se matérialise, entre autres, par le renforcement de la bancarisation, la facilitation de l’accès aux produits et services bancaires ainsi que l’éducation financière et la protection des consommateurs.
A noter qu’au Maroc, la Banque centrale est l’un des principaux architectes de la politique globale de finance durable franchement dévoilée. En effet, un large processus de concertation impliquant opérateurs, fédérations professionnelles et régulateurs, sous l’impulsion du Comité scientifique de la COP 22 et la coordination de
Bank Al-Maghrib, a permis de définir les grands axes de la feuille de route du secteur financier marocain pour faire face aux enjeux du développement durable. Bank Al-Maghrib, en concertation avec les
autres régulateurs du secteur financier, veillera également à intégrer dans les missions de supervision bancaire et de stabilité financière une nouvelle dimension liée aux risques afférents aux changements
climatiques.
