« Fausses informations, rumeurs et désinformation dans la cyberespace ». C’était le thème de la deuxième formation organisée par le réseau Miraj (association marocaine des journalistes d’investigation. Rencontre qui a eu lieu, samedi à Casablanca, grâce au partenariat qu’entretient Miraj avec la faculté des lettres et sciences humaines-Ainchock (à travers la filière Médias et Journalisme) ainsi qu’avec la fédération Code Africa. Cette dernière est la plus grande fédération de laboratoires de journalisme de données et de technologie civique en Afrique.
La formation a été l’occasion de lancer le premier Hacks Hackers à Casablanca. Structure dont la mission est de créer un réseau de journalistes (hacks) et de développeurs (hackers). Ainsi, cette journée a permis aux bénéficiaires (des journalistes et des étudiants en journalisme) de connaitre les différents types de désinformations et comment sont-ils transformés en fausses informations. Ainsi, dans premier temps, les explications données par une experte de Code Africa, Fadwa Kamal, ont permis de savoir comment les identifier et les combattre.
La problématique de la rumeur, a été également au menu de cette journée. Thème qui a été développé par le chef de la filière Médias et Journalisme, Hassan Habib. La dernière thématique a porté sur les fausses informations qui ont influencé l’opinion publique marocaine. Sujet qui a été détaillé par Hassan Nadir, président du réseau Miraj.