La société aurait en effet entrepris cette démarche mercredi auprès d'un tribunal new-yorkais, selon l’AFP. Accusée d'avoir collecté les données personnelles d'utilisateurs du réseau social pour les utiliser sans leur consentement lors de campagnes politiques, Cambridge Analytica n’a cessé de se défendre. Elle a ainsi fini, au début de ce mois, par entamer une procédure d'insolvabilité en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis, en affirmant qu'elle avait été ruinée par "de nombreuses accusations infondées et "calomniée pour des activités (...) légales". De ce fait, elle a cessé immédiatement ses activités qui n'étaient "plus viables".
A noter que le New York Times avait rapporté que le FBI et le ministère de la Justice enquêtaient sur Cambridge Analytica pour déterminer si les données collectées par la firme ont permis d'influencer la campagne remportée par Donald Trump.