Elle a fait le déplacement à Doha avec son équipe du Nigeria, mais au final elle suivra la compétition des tribunes. Elle, c’est Aminatou Seyni spécialiste de 400m. Une décision liée au nouveau règlement sur les athlètes hyperandrogènes. Ce qui est quand même bizarre dans cette décision, c’est que l’IAAF a laissé Seyni participer à l’épreuve de 200m.
Omission ou pas, l’IAAF aurait pu informer l’athlète dès le départ au lieu de lui faire faire le déplacement jusqu’à Doha et la frustrer ensuite. Elle rejoint la Sud-africaine Semyana Caster, privée à son tour des Mondiaux pour la même raison.