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Le SIDA, première cause de mortalité chez les femmes de moins de 50 ans

A la veille de la réunion des ministres de la santé du G7, l’ONG internationale ONE propose un classement non-exhaustif des dix chiffres et comparaisons sur les maladies évitables les plus meurtrières de notre époque, contre lesquelles le combat est encore loin d’être gagné.

«Si vous demandez à 100 personnes quelle est la principale cause de mortalité chez les femmes de moins de 50 ans, combien vous répondront le SIDA ? Chaque jour, 1000 jeunes femmes contractent le VIH, la plupart dans les pays les plus pauvres. Mais nos dirigeants ne considèrent plus cela comme une urgence. La bonne nouvelle, c’est qu’il existe un outil extrêmement efficace pour rattraper notre retard face aux maladies : le Fonds mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme, qui a déjà aidé à sauver 27 millions de vies depuis sa création», explique Gayle Smith, directrice et présidente de ONE.

ONE a ainsi choisi 10 titres, qui devraient faire la une en cette semaine où la santé mondiale sera à l’ordre du jour :

  • Le SIDA est la première cause de mortalité chez les femmes de moins de 50 ans
  • L’UE aurait pu perdre 12 États-membres à cause du SIDA
  • 30.000 personnes mourront pendant les élections européennes
  • Le SIDA a tué l’équivalent de la population française âgée de moins de 45 ans
  • Le nombre d’enfants ayant perdu un parent du sida est plus important que le nombre de personnes vivant à Paris
  • Toutes les deux minutes, un enfant meurt du paludisme
  • Il y a eu plus de cas de paludisme recensés en Afrique en 2018 que de spectateurs de la finale de l’Eurovision
  • Les moustiques ont tué plus de personnes que toutes les guerres réunies
  • 7,3 millions de personnes sont mortes pendant que le Royaume-Uni est en train de débattre du Brexit
  • Bonne nouvelle : la France a déjà contribué à sauver près de 3,3 millions de vies en investissant dans le Fonds mondial et pourrait contribuer à en sauver plus si elle contribue au Fonds mondial à la hauteur des besoins.

Pour consulter le rapport intégral publié à cette occasion, cliquez sur le bouton télécharger

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