L’idée de créer cet espace de travail est basée principalement sur un constat observé et analysé par les responsables de l’établissement hôtelier. Il s’agit en effet des changements structurels dans la manière de travailler imposés par la crise sanitaire actuelle. « Le télétravail, jadis pratiqué dans des cas exceptionnels, est devenu la règle pour grand nombre d’entreprises pour des raisons à la fois sanitaires et économiques. C’est de ce constat qu’a muri, chez ONOMO la réflexion de créer d’un espace de travail à ONOMO Casablanca City Center », indique un communiqué. Il s’agit plus concrètement de proposer un univers de travail professionnel et flexible, dans un environnement agréable et répondant aux exigences sanitaires et d’hygiène grâce au label SAFEGUARD de Bureau Veritas.
Pour Cedric Guilleminot, président directeur général de ONOMO Hotels, cette initiative vient répondre à des besoins réels en termes d’espaces de travail innovants. « Nos hôtels sont conçus pour être des lieux de vie. Ils ont été pensés comme des espaces de rencontre et de partage, où l’on peut dormir, déguster un bon plat, faire du sport, écouter de la musique. Nos lobbies ont toujours été des espaces prisés par des clients à la recherche d’endroits calmes et agréables pour travailler. Proposer un espace de travail à ONOMO Casablanca City Center, aménagé et géré par une enseigne reconnue comme KOWORK, vient répondre à ce besoin grandissant», explique-t-il. Cet espace de travail permet ainsi de satisfaire une clientèle à la recherche de confort et d’inspiration, en dehors des bureaux et des maisons.
De son côté, Reda Layt, CEO de KOWORK se réjouit de ce partenariat qui souligne les performances et la crédibilité de la société, leader des solutions de bureaux flexibles au Maroc. « Il s’inscrit logiquement dans notre plan de développement au Maroc et nous sommes ravis d’avoir trouvé en ONOMO Hôtels un partenaire avec qui nous partageons un même ADN : des services pensés pour une clientèle d’affaires avec une exigence de qualité, le tout à des prix compétitifs », poursuit-il.