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Aziz Akhannouch a affirmé que le gouvernement est en droit de saluer l'émergence d'une nouvelle génération d'acteurs économiques, «une génération à l'esprit solidaire et au sens aigu du patriotisme, qui s'est traduite par l'engagement et des réponses immédiates du patronat lors du premier round du dialogue social».
Ce patronat, a ajouté M. Akhannouch, a accepté le cahier des revendications sociales des salariés, et notamment l'accueil favorable de l’augmentation du salaire minimum de 10% dans les secteurs de l'industrie, du commerce et des professions libérales, et 15% dans le secteur agricole, sans compter la valorisation des allocations familiales.
Pour le chef du gouvernement, cela permet d’envisager l’avenir avec optimisme. «L'entreprise marocaine est un partenaire de l’Etat, sur laquelle ce dernier peut compte pour contribuer à la réalisation des objectifs sociaux», a-t-il expliqué.
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