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En l’espace d’un battement d’ailes technologiques, le marché des robots de maison va bondir de 13,5 à 22,8 milliards de dollars d’ici 2027, révèle Statista Market Insights. En volume, les ventes devraient approcher les 40 millions d’unités en 2025 avant de franchir le cap symbolique des 50 millions en 2027. Derrière ces chiffres se cache une révolution silencieuse qui transforme peu à peu le quotidien. Aspirateurs intelligents, tondeuses automatiques, jouets robotiques ou même drones, ces compagnons high-tech quittent la science-fiction pour envahir les foyers.
Cette croissance fulgurante s’explique par l’intégration toujours plus poussée de l’intelligence artificielle dans les appareils domestiques. Les constructeurs conçoivent désormais des machines capables d’apprendre les habitudes des ménages, de cartographier les espaces, d’optimiser leur consommation d’énergie et de s’adapter aux imprévus. Fini le simple aspirateur programmable : les robots savent aspirer, laver, tondre, surveiller... et parfois même divertir. Leur champ d’action s’élargit à grande vitesse, redéfinissant ce que l’on appelle « confort domestique ».
Mais l’enjeu dépasse la commodité. Le vieillissement de la population mondiale stimule fortement cette demande. Les robots deviennent une réponse concrète aux besoins d’assistance : mobilité, tâches quotidiennes, voire compagnie sociale. Le Japon en est l’exemple le plus parlant. Entre culture technophile et pénurie de main-d’œuvre, le pays a ouvert la voie à une intégration massive de robots, non seulement dans les maisons, mais aussi dans les hôpitaux, les hôtels ou encore le commerce.
Le marché n’en est encore qu’à ses prémices, mais la tendance est irréversible. Dans quelques années, ces machines pourraient bien s’imposer comme l’ont fait hier les smartphones ou les objets connectés, au point que la maison de demain risque fort de ne plus pouvoir s’en passer.
Cette croissance fulgurante s’explique par l’intégration toujours plus poussée de l’intelligence artificielle dans les appareils domestiques. Les constructeurs conçoivent désormais des machines capables d’apprendre les habitudes des ménages, de cartographier les espaces, d’optimiser leur consommation d’énergie et de s’adapter aux imprévus. Fini le simple aspirateur programmable : les robots savent aspirer, laver, tondre, surveiller... et parfois même divertir. Leur champ d’action s’élargit à grande vitesse, redéfinissant ce que l’on appelle « confort domestique ».
Mais l’enjeu dépasse la commodité. Le vieillissement de la population mondiale stimule fortement cette demande. Les robots deviennent une réponse concrète aux besoins d’assistance : mobilité, tâches quotidiennes, voire compagnie sociale. Le Japon en est l’exemple le plus parlant. Entre culture technophile et pénurie de main-d’œuvre, le pays a ouvert la voie à une intégration massive de robots, non seulement dans les maisons, mais aussi dans les hôpitaux, les hôtels ou encore le commerce.
Le marché n’en est encore qu’à ses prémices, mais la tendance est irréversible. Dans quelques années, ces machines pourraient bien s’imposer comme l’ont fait hier les smartphones ou les objets connectés, au point que la maison de demain risque fort de ne plus pouvoir s’en passer.
