Instagram vient de lancer une fonctionnalité qui fait beaucoup parler d’elle. Baptisée “Carte”, elle permet aux utilisateurs de partager leur localisation en temps réel et de visualiser celle de leurs amis. L’idée affichée par la plateforme est de faciliter le lien social et encourager les interactions.
Mais la réception est loin d’être unanime. Très vite après le déploiement, le 6 août, de nombreux internautes ont exprimé leur inquiétude. Des vidéos et publications virales alertent sur un risque de “surveillance ouverte”, certains parlant même de “l’une des pires options jamais imaginées en matière de sécurité”.
Les critiques portent surtout sur la précision de la localisation. Des utilisatrices racontent avoir découvert que leur adresse personnelle pouvait être visible par leurs abonnés. “Je l’ai immédiatement désactivée, ça m’a rendu malade”, témoigne l’une d’elles à l'AFP. Ces réactions, multipliées par dizaines de milliers de partages, traduisent une méfiance généralisée envers la gestion des données personnelles.
Face à la polémique, Adam Mosseri, patron d’Instagram, a tenté de calmer les esprits. Sur Threads, il a assuré que la localisation n’est partagée que si l’utilisateur l’active, et uniquement avec les personnes qu’il choisit. “J’utilise personnellement la carte pour partager ce que je fais avec une poignée d’amis proches”, a-t-il écrit.
Concrètement, la fonctionnalité n’est pas activée par défaut. L’utilisateur doit accepter le partage pour rendre son emplacement visible. La localisation se met alors à jour à chaque ouverture de l’application, mais elle peut être désactivée à tout moment depuis les réglages.
“Carte” illustre la tension permanente entre innovation sociale et protection des données. Pour certains, l’outil offre un moyen pratique de rester connectés. Pour d’autres, il ouvre la porte à des dérives inquiétantes, rappelant les polémiques entourant Snap Map à ses débuts. Reste à voir si Instagram réussira à convaincre ses utilisateurs que la sécurité est bien sous contrôle, ou si “Carte” restera associée à un sentiment de méfiance numérique.
Mais la réception est loin d’être unanime. Très vite après le déploiement, le 6 août, de nombreux internautes ont exprimé leur inquiétude. Des vidéos et publications virales alertent sur un risque de “surveillance ouverte”, certains parlant même de “l’une des pires options jamais imaginées en matière de sécurité”.
Les critiques portent surtout sur la précision de la localisation. Des utilisatrices racontent avoir découvert que leur adresse personnelle pouvait être visible par leurs abonnés. “Je l’ai immédiatement désactivée, ça m’a rendu malade”, témoigne l’une d’elles à l'AFP. Ces réactions, multipliées par dizaines de milliers de partages, traduisent une méfiance généralisée envers la gestion des données personnelles.
Face à la polémique, Adam Mosseri, patron d’Instagram, a tenté de calmer les esprits. Sur Threads, il a assuré que la localisation n’est partagée que si l’utilisateur l’active, et uniquement avec les personnes qu’il choisit. “J’utilise personnellement la carte pour partager ce que je fais avec une poignée d’amis proches”, a-t-il écrit.
Concrètement, la fonctionnalité n’est pas activée par défaut. L’utilisateur doit accepter le partage pour rendre son emplacement visible. La localisation se met alors à jour à chaque ouverture de l’application, mais elle peut être désactivée à tout moment depuis les réglages.
“Carte” illustre la tension permanente entre innovation sociale et protection des données. Pour certains, l’outil offre un moyen pratique de rester connectés. Pour d’autres, il ouvre la porte à des dérives inquiétantes, rappelant les polémiques entourant Snap Map à ses débuts. Reste à voir si Instagram réussira à convaincre ses utilisateurs que la sécurité est bien sous contrôle, ou si “Carte” restera associée à un sentiment de méfiance numérique.
