Le Nid d’Oiseau, théâtre des Jeux olympiques de 2008 à Pékin en Chine, s’apprête à vibrer au rythme de compétitions sans athlètes de chair. Pour la première fois, des robots humanoïdes fouleront les pistes et les pelouses d’anciennes installations olympiques à Pékin. Leurs adversaires : d’autres machines, dopées à l’intelligence artificielle, conçues pour sprinter, danser, dribbler ou manipuler des objets complexes.
Derrière le vernis sportif, l’enjeu est bien plus ambitieux. Ce rendez-vous mondial, prévu du 15 au 17 août 2025, vise à repousser les limites de l’autonomie robotique. Dix-neuf épreuves sont au programme, de l’athlétisme à la gymnastique, en passant par le football ou la danse synchronisée. Les humanoïdes seront également évalués sur des scénarios inspirés de la vie réelle : trier des médicaments, débarrasser une table ou intervenir dans des contextes de catastrophe naturelle. Une vitrine technologique pensée pour accélérer la recherche appliquée et stimuler la collaboration internationale.
Les robots devront fonctionner sans assistance humaine directe, faire preuve de coordination, d’adaptabilité et, surtout, de fiabilité dans des environnements dynamiques.
En avril, la Chine avait déjà créé la surprise en organisant le tout premier semi-marathon de robots humanoïdes. Résultat : une course de 21 kilomètres, conclue en 2h40 par le meilleur coureur, un robot nommé Tien Kung Ultra, illustrant à la fois le potentiel et les limites actuelles de ces technologies.
Les autorités chinoises misent sur la compétition pour renforcer leur leadership dans le domaine de l’intelligence artificielle et des humanoïdes. Les World Humanoid Robot Sports Games ambitionnent de devenir un catalyseur d’innovations, mais aussi une démonstration de puissance dans une guerre technologique désormais mondiale.
Derrière le vernis sportif, l’enjeu est bien plus ambitieux. Ce rendez-vous mondial, prévu du 15 au 17 août 2025, vise à repousser les limites de l’autonomie robotique. Dix-neuf épreuves sont au programme, de l’athlétisme à la gymnastique, en passant par le football ou la danse synchronisée. Les humanoïdes seront également évalués sur des scénarios inspirés de la vie réelle : trier des médicaments, débarrasser une table ou intervenir dans des contextes de catastrophe naturelle. Une vitrine technologique pensée pour accélérer la recherche appliquée et stimuler la collaboration internationale.
Les robots devront fonctionner sans assistance humaine directe, faire preuve de coordination, d’adaptabilité et, surtout, de fiabilité dans des environnements dynamiques.
En avril, la Chine avait déjà créé la surprise en organisant le tout premier semi-marathon de robots humanoïdes. Résultat : une course de 21 kilomètres, conclue en 2h40 par le meilleur coureur, un robot nommé Tien Kung Ultra, illustrant à la fois le potentiel et les limites actuelles de ces technologies.
Les autorités chinoises misent sur la compétition pour renforcer leur leadership dans le domaine de l’intelligence artificielle et des humanoïdes. Les World Humanoid Robot Sports Games ambitionnent de devenir un catalyseur d’innovations, mais aussi une démonstration de puissance dans une guerre technologique désormais mondiale.