L’Organisation de coopération numérique (OCN) vient de lancer, depuis Genève, un outil destiné à encadrer l’intelligence artificielle dans une perspective éthique et respectueuse des droits humains. Soutenu par les 16 pays membres de l’organisation, dont le Maroc, cet Outil d’évaluation de l’éthique de l’intelligence artificielle a été présenté lors du Sommet mondial sur la société de l’information et du Sommet sur l’IA pour le bien public. Concrètement, cet outil numérique d'OCN accompagne gouvernements, développeurs et acteurs privés dans l’évaluation systématique des risques éthiques liés aux systèmes d’IA. Il s’articule autour de six grands domaines : protection de la vie privée, justice algorithmique, transparence, responsabilité, lutte contre les biais et respect des droits fondamentaux. À l’issue de l’évaluation, il génère un rapport analytique et des recommandations pratiques adaptées à chaque acteur.
La secrétaire générale de l’OCN, Dima bint Yahya Al-Yahya, explique que l’initiative vise à doter les États et les innovateurs d’une référence claire qui garantisse que l’IA reste au service de l’humain. Pour elle, l’éthique appliquée à l’intelligence artificielle n’est plus un luxe mais une nécessité fondamentale pour préserver la dignité humaine et restaurer la confiance des sociétés.
Le ministre d’État chargé des communications du Koweït et président actuel de l’OCN, Omar Saud Al-Omar, insiste sur le rôle de ce nouvel outil comme guide pratique permettant d’anticiper les impacts sociaux, juridiques et éthiques des technologies d’IA.
Au Maroc, où la transformation numérique s’accélère, cet outil suscite un intérêt particulier. Pour Dr Hajar El Mossanef, enseignante-chercheuse à l’Université Cadi Ayyad, il est essentiel que le Maroc adopte un cadre réglementaire équilibré, capable de protéger les droits tout en préservant la dynamique d’innovation. Elle rappelle que dans des environnements émergents, la régulation ne doit pas devenir un frein à l’expérimentation mais un guide pour un développement responsable.
Développé sur la base de recherches approfondies en "droits humains" et "meilleures pratiques internationales", cet outil se veut "pragmatique et universel". Sa vocation est d’aider chaque acteur à transformer les principes théoriques en actions concrètes et mesurables.
Avec ce lancement, l’Organisation de coopération numérique (OCN) réaffirme sa volonté de faire des technologies émergentes des leviers de progrès inclusif, en veillant à ce que la croissance numérique mondiale se construise autour des valeurs communes et du respect des droits fondamentaux.
La secrétaire générale de l’OCN, Dima bint Yahya Al-Yahya, explique que l’initiative vise à doter les États et les innovateurs d’une référence claire qui garantisse que l’IA reste au service de l’humain. Pour elle, l’éthique appliquée à l’intelligence artificielle n’est plus un luxe mais une nécessité fondamentale pour préserver la dignité humaine et restaurer la confiance des sociétés.
Le ministre d’État chargé des communications du Koweït et président actuel de l’OCN, Omar Saud Al-Omar, insiste sur le rôle de ce nouvel outil comme guide pratique permettant d’anticiper les impacts sociaux, juridiques et éthiques des technologies d’IA.
Au Maroc, où la transformation numérique s’accélère, cet outil suscite un intérêt particulier. Pour Dr Hajar El Mossanef, enseignante-chercheuse à l’Université Cadi Ayyad, il est essentiel que le Maroc adopte un cadre réglementaire équilibré, capable de protéger les droits tout en préservant la dynamique d’innovation. Elle rappelle que dans des environnements émergents, la régulation ne doit pas devenir un frein à l’expérimentation mais un guide pour un développement responsable.
Développé sur la base de recherches approfondies en "droits humains" et "meilleures pratiques internationales", cet outil se veut "pragmatique et universel". Sa vocation est d’aider chaque acteur à transformer les principes théoriques en actions concrètes et mesurables.
Avec ce lancement, l’Organisation de coopération numérique (OCN) réaffirme sa volonté de faire des technologies émergentes des leviers de progrès inclusif, en veillant à ce que la croissance numérique mondiale se construise autour des valeurs communes et du respect des droits fondamentaux.
