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Selon les messages publiés sur le canal officiel de Cocoon, le réseau a déjà commencé à gérer des requêtes. Le traitement ne passerait pas par un unique centre de données mais par de nombreux ordinateurs mis à disposition dans le monde. Les propriétaires de ce matériel seraient rémunérés lorsqu’ils participent au calcul, tout en restant dans l’ignorance du contenu qu’ils traitent. Telegram présente cette manière de faire comme une réponse au système actuel où les données transitent par quelques grandes entreprises qui disposent d’un contrôle complet sur les serveurs.
L’équipe derrière Cocoon affirme que les informations envoyées à l’intelligence artificielle ne peuvent être vues par personne. Les calculs seraient isolés afin d’empêcher l’accès aux contenus, y compris pour les personnes qui administrent les machines et même pour Telegram. Cette promesse cherche à rassurer sur l’utilisation de solutions d’IA au moment où la confidentialité est devenue une préoccupation majeure.
Le réseau reste en développement et l’équipe invite progressivement les développeurs à indiquer les usages prévus afin d’adapter sa capacité de traitement. Les propriétaires d’équipements précisent les capacités techniques qui peuvent être mobilisées. L’application de messagerie prévoit d’être la première à s’appuyer sur Cocoon, le temps que la puissance de calcul augmente suffisamment pour supporter un usage plus large.
Ce projet pose la question de savoir si l’intelligence artificielle peut progresser sans que les données et l’infrastructure soient concentrées entre les mains de quelques acteurs dominants. Cocoon servira de test grandeur nature pour déterminer si la confidentialité annoncée peut réellement être maintenue à mesure que le nombre d’utilisateurs et de requêtes augmente. Les résultats attendus dans les prochains mois permettront de mesurer la solidité de cette approche et son éventuel impact sur l’écosystème de l’IA.
L’équipe derrière Cocoon affirme que les informations envoyées à l’intelligence artificielle ne peuvent être vues par personne. Les calculs seraient isolés afin d’empêcher l’accès aux contenus, y compris pour les personnes qui administrent les machines et même pour Telegram. Cette promesse cherche à rassurer sur l’utilisation de solutions d’IA au moment où la confidentialité est devenue une préoccupation majeure.
Le réseau reste en développement et l’équipe invite progressivement les développeurs à indiquer les usages prévus afin d’adapter sa capacité de traitement. Les propriétaires d’équipements précisent les capacités techniques qui peuvent être mobilisées. L’application de messagerie prévoit d’être la première à s’appuyer sur Cocoon, le temps que la puissance de calcul augmente suffisamment pour supporter un usage plus large.
Ce projet pose la question de savoir si l’intelligence artificielle peut progresser sans que les données et l’infrastructure soient concentrées entre les mains de quelques acteurs dominants. Cocoon servira de test grandeur nature pour déterminer si la confidentialité annoncée peut réellement être maintenue à mesure que le nombre d’utilisateurs et de requêtes augmente. Les résultats attendus dans les prochains mois permettront de mesurer la solidité de cette approche et son éventuel impact sur l’écosystème de l’IA.
