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Sur le plan politique, le magazine note que l'année 2002 est celle de tous les espoirs avec comme objectif la transparence du scrutin législatif de septembre prochain, conformément à la volonté Royale.
Après avoir passé en revue le projet de révision du système électoral en cours, l'hebdomadaire évoque l'expérience du gouvernement de l'alternance, se livre à une analyse de la carte politique marocaine et évalue les chances des partis politiques aux prochaines élections législatives.
Deux ans et quatre mois après son intronisation, constate le magazine, la popularité de S.M le Roi Mohammed VI reste intacte. Le Souverain, écrit-il, remplit sa mission avec un mélange de modestie, de prudence et de fermeté.
Quant à l'économie marocaine, l'hebdomadaire souligne qu'elle a atteint un niveau de stabilité macro-économique satisfaisant, ajoutant toutefois que la croissance dépend avant tout des résultats de l'agriculture. Et donc de la pluviosité.
En 1998, rappelle-t-il, les pluies ont été abondantes et le taux d'augmentation du PIB a frôlé les 8 %, soit près de sept fois l'accroissement démographique. Hélas la sécheresse qui sévit depuis deux ans a réduit cette performance à néant.
Saluant la gestion active de la dette, l'hebdomadaire note que l'encours de la dette est retombé de 22,5 milliards à 15 milliards de dollars. Pour parvenir à ce résultat, deux mécanismes ont à ce jour été utilisés: le remboursement anticipé des prêts contractés à des conditions onéreuses et la conversion de la dette en investissements. Concernant le secteur du tourisme, Jeune Afrique/l'intelligent estime que les multiples manifestations internationales, qui ont eu lieu ces derniers mois au Maroc, ont permis de véhiculer l'image d'un pays tolérant, où il est possible de passer d'agréables vacances en toute quiétude. Aussi, combiné à une spectaculaire embellie de la “desti110n Maroc” depuis trois ans, “ce business plan” devrait contribuer, à l'avenir, à attirer les investisseurs, note-t-il, précisant que plusieurs projets sont d'ores et déjà ficelés et que de nombreux chantiers sont en cours de réalisation.
Sur le plan social, l'hebdomadaire rappelle que pour rattraper le retard pris dans la réforme de la Moudawana, le Souverain a mis en place, le 8 mars dernier, une commission consultative chargée de la réviser.
Depuis son accession au Trône, le Souverain a clairement affirmé sa volonté de donner au code un contenu plus juste et plus égalitaire, écrit-il à ce propos.
A noter par ailleurs, que dans ce même dossier, Jeune Afrique/l'intelligent a publié une interview du réalisateur marocain Mohamed Tazi et souligné au passage le réveil du cinéma marocain qui se porte bien et qui est en train de vivre son âge d'or.
Non seulement, parce que le public - plus que les jurys des festivals - plébiscite ses productions, mais parce qu'une jeune génération de réalisateurs semble en train d'éclore, conclut-il.
Après avoir passé en revue le projet de révision du système électoral en cours, l'hebdomadaire évoque l'expérience du gouvernement de l'alternance, se livre à une analyse de la carte politique marocaine et évalue les chances des partis politiques aux prochaines élections législatives.
Deux ans et quatre mois après son intronisation, constate le magazine, la popularité de S.M le Roi Mohammed VI reste intacte. Le Souverain, écrit-il, remplit sa mission avec un mélange de modestie, de prudence et de fermeté.
Quant à l'économie marocaine, l'hebdomadaire souligne qu'elle a atteint un niveau de stabilité macro-économique satisfaisant, ajoutant toutefois que la croissance dépend avant tout des résultats de l'agriculture. Et donc de la pluviosité.
En 1998, rappelle-t-il, les pluies ont été abondantes et le taux d'augmentation du PIB a frôlé les 8 %, soit près de sept fois l'accroissement démographique. Hélas la sécheresse qui sévit depuis deux ans a réduit cette performance à néant.
Saluant la gestion active de la dette, l'hebdomadaire note que l'encours de la dette est retombé de 22,5 milliards à 15 milliards de dollars. Pour parvenir à ce résultat, deux mécanismes ont à ce jour été utilisés: le remboursement anticipé des prêts contractés à des conditions onéreuses et la conversion de la dette en investissements. Concernant le secteur du tourisme, Jeune Afrique/l'intelligent estime que les multiples manifestations internationales, qui ont eu lieu ces derniers mois au Maroc, ont permis de véhiculer l'image d'un pays tolérant, où il est possible de passer d'agréables vacances en toute quiétude. Aussi, combiné à une spectaculaire embellie de la “desti110n Maroc” depuis trois ans, “ce business plan” devrait contribuer, à l'avenir, à attirer les investisseurs, note-t-il, précisant que plusieurs projets sont d'ores et déjà ficelés et que de nombreux chantiers sont en cours de réalisation.
Sur le plan social, l'hebdomadaire rappelle que pour rattraper le retard pris dans la réforme de la Moudawana, le Souverain a mis en place, le 8 mars dernier, une commission consultative chargée de la réviser.
Depuis son accession au Trône, le Souverain a clairement affirmé sa volonté de donner au code un contenu plus juste et plus égalitaire, écrit-il à ce propos.
A noter par ailleurs, que dans ce même dossier, Jeune Afrique/l'intelligent a publié une interview du réalisateur marocain Mohamed Tazi et souligné au passage le réveil du cinéma marocain qui se porte bien et qui est en train de vivre son âge d'or.
Non seulement, parce que le public - plus que les jurys des festivals - plébiscite ses productions, mais parce qu'une jeune génération de réalisateurs semble en train d'éclore, conclut-il.
