Dans le contexte actuel, cette édition ne se veut pas une confirmation de la part de l'auteur de la prévision selon laquelle la deuxième guerre du Golfe est, par excellence, une guerre de civilisation, mais aussi une preuve supplémentaire que les événements du 11 septembre, tout autant que les frappes sur l'Afghanistan ne sont que le prélude de ce que l'auteur appellera dorénavant “la deuxième guerre civilisationnelle”.
Dans l'actuelle édition tout comme dans les précédentes, l'auteur affirme que ce dont il est question sous l'appellation “guerre de civilisation” n'est nullement une guerre de religions, encore moins de croyances, mais plutôt une guerre de cultures et de valeurs.
C'est la raison pour laquelle, prévenir une telle guerre, passe nécessairement, dans l'esprit de l'auteur, par le renforcement du principe de communication culturelle et civilisationnelle entre les peuples et entre les cultures.
C'est d'ailleurs le principe même qui ne cesse d'inspirer l'auteur non seulement dans la présente édition ou dans les précédentes, mais aussi dans la plupart de ses positions.
Positions qu'il continue de défendre avec énergie et détermi110n.
L'actuelle édition, ajoutée aux éditions d'Alger, du Caire et des deux dernières éditions au Japon, “la première guerre civilisationnelle” frôle les cinquante mille exemplaires.
Par ailleurs, cet ouvrage fait le bilan, par le biais d'une approche prospective, des implications militaire, civilisationnelle, politique, économique et stratégique de la deuxième guerre du Golfe traitée en trois chapitres. Le premier couvre la période du 2 août 1990 au 17 janvier 1991, période que l'auteur appelle “post-coloniale”, le deuxième annonce le début “d'un conflit civilisationnel” entre le nord et le sud, alors que le troisième chapitre constitue un recueil d'essais futuristes sur l'avenir des pays du sud, écrits par l'auteur à différentes étapes de sa vie.
Il convient de rappeler que le Pr. Mahdi El Mandjra a établi, en 1991, le prix de la communication Nord-Sud. Depuis cette date, ce prix est attribué le 17 janvier de chaque année.
Ce prix, financé par les droits d'auteur acquis par le Pr.El Mandjra depuis 1991, a été attribué notamment à l'ancien ministre américain Ramsey Clarke, l'humoriste marocain Ahmed Snoussi et au caricaturiste Larbi Sebbane.
Dans l'actuelle édition tout comme dans les précédentes, l'auteur affirme que ce dont il est question sous l'appellation “guerre de civilisation” n'est nullement une guerre de religions, encore moins de croyances, mais plutôt une guerre de cultures et de valeurs.
C'est la raison pour laquelle, prévenir une telle guerre, passe nécessairement, dans l'esprit de l'auteur, par le renforcement du principe de communication culturelle et civilisationnelle entre les peuples et entre les cultures.
C'est d'ailleurs le principe même qui ne cesse d'inspirer l'auteur non seulement dans la présente édition ou dans les précédentes, mais aussi dans la plupart de ses positions.
Positions qu'il continue de défendre avec énergie et détermi110n.
L'actuelle édition, ajoutée aux éditions d'Alger, du Caire et des deux dernières éditions au Japon, “la première guerre civilisationnelle” frôle les cinquante mille exemplaires.
Par ailleurs, cet ouvrage fait le bilan, par le biais d'une approche prospective, des implications militaire, civilisationnelle, politique, économique et stratégique de la deuxième guerre du Golfe traitée en trois chapitres. Le premier couvre la période du 2 août 1990 au 17 janvier 1991, période que l'auteur appelle “post-coloniale”, le deuxième annonce le début “d'un conflit civilisationnel” entre le nord et le sud, alors que le troisième chapitre constitue un recueil d'essais futuristes sur l'avenir des pays du sud, écrits par l'auteur à différentes étapes de sa vie.
Il convient de rappeler que le Pr. Mahdi El Mandjra a établi, en 1991, le prix de la communication Nord-Sud. Depuis cette date, ce prix est attribué le 17 janvier de chaque année.
Ce prix, financé par les droits d'auteur acquis par le Pr.El Mandjra depuis 1991, a été attribué notamment à l'ancien ministre américain Ramsey Clarke, l'humoriste marocain Ahmed Snoussi et au caricaturiste Larbi Sebbane.
