Ce colloque “entend relever le défi majeur de la mise en place d'une communication positive entre les pouvoirs publics et les citoyens”, a affirmé M. Belmahi lors d'un déjeuner de presse.
Trois considérations objectives motivent la tenue de ce colloque, a-t-il poursuivi, en l'occurrence l'actualité du thème retenu notamment eu égard “aux réformes structurelles entreprises par le gouvernement de l'alternance”, l'élargissement de l'espace des libertés publiques, puisque le code de 1958 “devait être révisé en fonction de ces impératifs de liberté constitutionnelle et au regard de l'évolution qu'à connue la société marocaine”.
Le ministère des droits de l'Homme attend également de ce colloque qu'il réponde à une troisième considération afférente à la société civile. Les partis politiques et les associations civiles sont en effet appelés à s'as116r à la réflexion relative aux espaces de la liberté publique, d'autant que le débat intervient au moment où le projet de réforme du code des libertés publiques est soumis au parlement, a souligne, M. Belmahi.
Réparties en deux axes majeurs portant respectivement sur les associations et les partis politiques, les communications seront axées notamment sur les associations dans le droit marocain, les associations et la problématique du financement, les partis politiques marocains aujourd'hui, le parti politique et le projet démocratique, la pratique partisane et la gestion des affaires publiques, a indiqué par ailleurs un communiqué du ministère.
Le colloque dont les conclusions pourraient, selon M. Belmahi, sous-tendre les débats parlementaires sur les réformes actuelles du code des libertés publiques, connaîtra la participation de plusieurs universitaires, MM. Najib Ba Mohamed, Mohamed Tozy, Abdelhay Moudden, des actifs associatifs, MM. Ahmed Abadrine, Mohamed Benhamou, Abdelali Benamor et des représentants des partis politiques et du tissu associatif.
Trois considérations objectives motivent la tenue de ce colloque, a-t-il poursuivi, en l'occurrence l'actualité du thème retenu notamment eu égard “aux réformes structurelles entreprises par le gouvernement de l'alternance”, l'élargissement de l'espace des libertés publiques, puisque le code de 1958 “devait être révisé en fonction de ces impératifs de liberté constitutionnelle et au regard de l'évolution qu'à connue la société marocaine”.
Le ministère des droits de l'Homme attend également de ce colloque qu'il réponde à une troisième considération afférente à la société civile. Les partis politiques et les associations civiles sont en effet appelés à s'as116r à la réflexion relative aux espaces de la liberté publique, d'autant que le débat intervient au moment où le projet de réforme du code des libertés publiques est soumis au parlement, a souligne, M. Belmahi.
Réparties en deux axes majeurs portant respectivement sur les associations et les partis politiques, les communications seront axées notamment sur les associations dans le droit marocain, les associations et la problématique du financement, les partis politiques marocains aujourd'hui, le parti politique et le projet démocratique, la pratique partisane et la gestion des affaires publiques, a indiqué par ailleurs un communiqué du ministère.
Le colloque dont les conclusions pourraient, selon M. Belmahi, sous-tendre les débats parlementaires sur les réformes actuelles du code des libertés publiques, connaîtra la participation de plusieurs universitaires, MM. Najib Ba Mohamed, Mohamed Tozy, Abdelhay Moudden, des actifs associatifs, MM. Ahmed Abadrine, Mohamed Benhamou, Abdelali Benamor et des représentants des partis politiques et du tissu associatif.
