Intervenant à la séance d'ouverture des “journées de la coopération décentralisée: Marie-France” organisées par l'Association des cités unies, auxquelles participent des hommes politiques, d'anciens ministres, des députés-maires, des présidents de communes des villes et des régions des deux pays, M. Mohamed Kabbaj, a souligné que les destins du Maroc et de la France sont scellés par l'histoire, le croisement des destinées.
Ce destin commun, a-t-il poursuivi, est aussi et surtout l'œuvre des Glorieux Rois du Maroc et de grands hommes qui ont présidé aux destinées de la France.
L'exemplarité de l'axe Paris-Rabat, mérite d'être en permanence entretenue par un renouvellement et une actualisation des mécanismes, des moyens et des domaines de nos échanges et de notre coopération. Telle est la volonté exprimée par S.M. le Roi Mohammed VI dans le discours prononcé au Palais de l'Elysée en mars 2000, a ajouté M. Kabbaj.
Par conséquent, la coopération décentralisée constitue une de ces directions novatrices susceptibles de ressourcer l'amitié franco-marocaine, d'élargir et d'enrichir les réseaux de coopération entre les deux pays, a-t-il dit.
La coopération et les échanges entre collectivités territoriales, ou ce qu'on nomme plus communément la diplomatie des villes, a poursuivi M. Kabbaj, a connu au cours de la dernière décennie un développement formidable, à l'échelon régional et universel, ouvrant ainsi une brèche dans le monopole étatique des relations internationales.
Ce constat est certes le résultat naturel des progrès, de la démocratie, des pouvoirs locaux, mais il est aussi et surtout l'œuvre de quelques grands pionniers de la cause décentralisée qui ont tenté et réussi à rapprocher les peuples, et qui ensuite, à travers la promotion progressive du mouvement associatif, ont réussi à tailler une place aux acteurs locaux de proximité sur la scène internationale, pour faire entendre la voix des villes et des collectivités territoriales.
Le Maroc a fait de la décentralisation un choix conscient et irréversible. Par phases successives, depuis son indépendance, il a créé, organisé et perfectionné une décentralisation à trois niveaux territoriaux, communes, provinces et régions. Elle compte parmi les œuvres les plus accomplies du Glorieux règne de feu S.M. Hassan II, qui en a été l'inspirateur et le guide convaincu.
Aujourd'hui sous le règne de S.M. le Roi Mohammed VI, d'autres chantiers de réformes sont en cours. Le Souverain entend appliquer le concept de décentralisation et consolider la démocratie de participation.
C'est fort de ces choix et de cette détermi110n que le Maroc entend s'ouvrir sur l'extérieur et notamment sur ses partenaires privilégiés comme la France, pour s'enrichir de leurs expériences, partager leur savoir et savoir-faire, développer les échanges, consolider le rapprochement et l'amitié entre les deux peuples, à travers ces réseaux de proximité, que constituent les collectivités locales.
Ce destin commun, a-t-il poursuivi, est aussi et surtout l'œuvre des Glorieux Rois du Maroc et de grands hommes qui ont présidé aux destinées de la France.
L'exemplarité de l'axe Paris-Rabat, mérite d'être en permanence entretenue par un renouvellement et une actualisation des mécanismes, des moyens et des domaines de nos échanges et de notre coopération. Telle est la volonté exprimée par S.M. le Roi Mohammed VI dans le discours prononcé au Palais de l'Elysée en mars 2000, a ajouté M. Kabbaj.
Par conséquent, la coopération décentralisée constitue une de ces directions novatrices susceptibles de ressourcer l'amitié franco-marocaine, d'élargir et d'enrichir les réseaux de coopération entre les deux pays, a-t-il dit.
La coopération et les échanges entre collectivités territoriales, ou ce qu'on nomme plus communément la diplomatie des villes, a poursuivi M. Kabbaj, a connu au cours de la dernière décennie un développement formidable, à l'échelon régional et universel, ouvrant ainsi une brèche dans le monopole étatique des relations internationales.
Ce constat est certes le résultat naturel des progrès, de la démocratie, des pouvoirs locaux, mais il est aussi et surtout l'œuvre de quelques grands pionniers de la cause décentralisée qui ont tenté et réussi à rapprocher les peuples, et qui ensuite, à travers la promotion progressive du mouvement associatif, ont réussi à tailler une place aux acteurs locaux de proximité sur la scène internationale, pour faire entendre la voix des villes et des collectivités territoriales.
Le Maroc a fait de la décentralisation un choix conscient et irréversible. Par phases successives, depuis son indépendance, il a créé, organisé et perfectionné une décentralisation à trois niveaux territoriaux, communes, provinces et régions. Elle compte parmi les œuvres les plus accomplies du Glorieux règne de feu S.M. Hassan II, qui en a été l'inspirateur et le guide convaincu.
Aujourd'hui sous le règne de S.M. le Roi Mohammed VI, d'autres chantiers de réformes sont en cours. Le Souverain entend appliquer le concept de décentralisation et consolider la démocratie de participation.
C'est fort de ces choix et de cette détermi110n que le Maroc entend s'ouvrir sur l'extérieur et notamment sur ses partenaires privilégiés comme la France, pour s'enrichir de leurs expériences, partager leur savoir et savoir-faire, développer les échanges, consolider le rapprochement et l'amitié entre les deux peuples, à travers ces réseaux de proximité, que constituent les collectivités locales.
